Nous avons pris connaissances de la réponse de la Vice-rectrice à l’enseignement et à la recherche de l’UQO dans vos pages du mardi 19 décembre. Nous souhaitons apporter quelques précisions à ses propos qui ne reflètent pas notre lecture de la situation.
Tout d’abord, nous réitérons notre engagement dans la lutte contre la culture du viol et les violences sexuelles à l’UQO et notre volonté de trouver un terrain d’entente pour assurer que le Comité consultatif pour une communauté exempte de harcèlement, de violence et d’agression à caractère sexuel porte et engage la volonté de toutes et tous les membres de la communauté universitaire de l’UQO. Nous soulignons que les trois syndicats qui ont quitté le comité, que vous nommez «groupes d’intérêts», portent seuls avec l’association étudiante depuis plus de 6 ans la lutte contre les violences sexuelles et les violences faites aux femmes à l’UQO, organisent seuls les diverses activités de sensibilisation et ateliers d’éducation auxquels l’administration n’a pas daigné participer avant l’an dernier (et cette participation était plus que marginale).
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