Dans un long texte du Devoir publié le 10 janvier 2018 et intitulé : « Iniquités salariales chez les recteurs », madame Lise Bissonnette, présidente du Conseil d’administration de l’Université du Québec à Montréal, a carrément perdu le contrôle de ses émotions afin de venir à la défense des pauvres recteurs du réseau de l’Université du Québec qu’elle affirme être carrément exploités par le gouvernement du Québec qui les paie nettement moins que les autres recteurs d’université au Québec, au Canada, et référence de bonne guerre oblige, en Amérique du Nord. À entendre ses propos exaltés, je me suis dit, il faudrait que la dame se calme le pompon sinon elle va éclater en sanglots. Peut-être serait-il humainement approprié de mettre immédiatement sur pied, le temps presse, le Téléthon des recteurs, le Bal de la pauvreté « rectorale », la guignolée des recteurs ou un GoFundMe. Lire la suite
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