Après des années de silence, les victimes d’agressions sexuelles sont de plus en plus nombreuses à porter plainte dans les universités québécoises, a pu constater Le Devoir après avoir sondé les établissements.
« De façon empirique, on voit une augmentation des plaintes, des signalements et des dénonciations pour toutes les formes de violence à caractère sexuel, au point où on va engager sous peu une professionnelle supplémentaire », constate Jocelyne Faucher, vice-rectrice à la vie étudiante à l’Université de Sherbrooke. Lire la suite
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