EXCLUSIF – L’Association générale étudiante (AGE) de l’Université du Québec en Outaouais (UQO) puise dans ses poches pour embaucher une intervenante sociale afin de lutter contre les violences sexuelles, selon ce qu’a appris Radio-Canada. L’association a pris cette décision car elle considère que l’administration de l’UQO demeure « immobile » face à cette problématique.
Cette entente de collaboration avec le Centre d’aide et de lutte contre les agressions sexuelles (CALAS) de l’Outaouais est financée à même les cotisations des étudiants, au coût de 10 000 $ par année. Lire la suite
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