Le 5 novembre 2018, l’Assemblée générale du SCCC-UQO a élu Denis Marcoux au poste de protecteur de la personne (ombudsman). Denis est connu du Syndicat car il fait partie de ceux qui ont fondé le Syndicat il y a 25 ans. Dès 1993, il a poursuivi son engagement syndical dans les instances de la Fédération des employées et employés du secteur public, fédération dont il a été président de 2009 à 2018.
Voici un extrait de son rôle selon la politique du SCCC-UQO :
La personne occupant le rôle de protecteur ou protectrice de la personne est chargée d’analyser la recevabilité d’une plainte en matière d’incivilité, de conflit interpersonnel ou de harcèlement psychologique ou sexuel.
Le protecteur ou la protectrice de la personne est une personne de bonne réputation qui connait l’organisation et la culture syndicale. C’est une personne crédible, impartiale, rigoureuse, empathique, disponible et respectueuse envers les individus. Le protecteur ou la protectrice de la personne doit posséder une bonne capacité d’analyse, de synthèse et de jugement, et doit être capable de faire de la médiation. Afin de favoriser l’indépendance du protecteur ou de la protectrice de la personne, la personne qui est élue à ce poste ne doit pas être une personne chargée de cours membre du SCCC-UQO. Cette mesure vise à éviter les conflits qui pourraient survenir entre le rôle de protecteur ou protectrice de la personne et les rôles ou relations que cette personne aurait pu occuper ou développer alors qu’elle était chargée de cours.
La personne agissant à titre de protecteur ou protectrice de la personne est indépendante du Comité exécutif du SCCC-UQO et relève de l’Assemblée générale qui, par son élection, lui confère des pouvoirs de médiation, d’enquête et de recommandation dans des cas de conflit interpersonnel ou de harcèlement psychologique ou sexuel. Un appel au public doit être lancé afin d’obtenir des candidatures de personnes intéressées à occuper le rôle de protecteur ou protectrice de la personne. Sa rémunération est établie selon les termes de la politique de rémunération en vigueur au SCCC-UQO.
La personne agissant à titre de protecteur ou protectrice de la personne peut cependant faire appel au Comité exécutif pour obtenir de l’information ou de l’aide afin de mener à bien son rôle. C’est aussi au Comité exécutif qu’elle remet son rapport lorsqu’appelée à enquêter par le SCCC-UQO.
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