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« Ça n’a plus de sens, a confié l’une des victimes à La Presse, refusant toutefois d’être nommée. J’ai honte. Dans ma tête, je me blâme beaucoup. »

Un cinquième cas survenu dans les trois dernières années s’ajoute au bilan, sans toutefois qu’une date précise puisse y être associée.

« Mon dernier souvenir, c’est que je parlais avec des amis. Après ça, c’est extrêmement flou », a relaté la victime, certaine « à 100 % » d’avoir été intoxiquée contre son gré au GHB, une drogue parfois glissée dans un verre par un agresseur sexuel afin d’émousser les réflexes d’une proie. « Après ça, j’ai été malade pendant deux jours. » Lire la suite