La politique, qui a reçu le sceau d’approbation du conseil d’administration lundi soir après une vaste consultation et des dizaines de rencontres entre divers groupes de travail, résulte du projet de loi 151, adopté en décembre 2017 par le précédent gouvernement. Annoncée quelques mois plus tôt, la Stratégie d’intervention pour prévenir et contrer les violences à caractère sexuel en enseignement supérieur 2017-2022 était accompagnée d’un budget de 23 millions $. Québec avait alors exigé que chaque institution se dote d’une politique au plus tard le 1er janvier 2019.
L’UQO affirme que cette nouvelle politique « reconnaît à tous les membres de la communauté universitaire le droit fondamental à un milieu de travail et d’études exempt de toute forme de violences à caractère sexuel ou mettant en cause la sexualité, l’identité sexuelle ou l’expression de l’identité sexuelle d’une personne, qu’il s’agisse de harcèlement sexuel, de comportements sexuels non désirés ou de toute autre forme de violence sexuelle ». Lire la suite