Extraire de l’huile essentielle à partir d’aiguilles de sapin baumier, prélever un échantillon de sol ou encore identifier des espèces à partir de l’ADN environnemental plutôt qu’à partir de traits morphologiques, une méthode conventionnelle.
Voilà quelques exemples d’expériences qui pourront être réalisées dans les laboratoires de sciences naturelles flambant neufs et à la fine pointe de la technologie inaugurés vendredi à l’Université du Québec en Outaouais (UQO), un investissement de 1,5 million $ au pavillon Alexandre-Taché. Lire la suite