Depuis la fondation du Syndicat des chargées et chargés de cours de l’Université du Québec en Outaouais (SCCC-UQO) il y a plus de 25 ans, le Syndicat a toujours communiqué avec le Rectorat sur des questions « politiques ». Dans une décision sans précédent, le recteur de l’UQO, Denis Harrisson, a décidé de ne plus répondre aux requêtes du SCCC-UQO. Il réfère plutôt le Syndicat au Décanat de la gestion académique, y compris sur des questions qui ne concernent pas du tout les relations de travail.
Récemment, Marie-Josée Bourget, présidente du SCCC-UQO, a interpellé le recteur sur deux sujets : le local du Bureau d’intervention en matière d’inconduite (BIMI), organisme qui doit recevoir les plaintes concernant notamment les violences sexuelles ainsi que sur la Grève du climat. « Nous voulions établir un dialogue avec la Haute Administration sur ces enjeux. Malheureusement, le Rectorat semble perdre le contact avec sa communauté universitaire », a soutenu Madame Bourget.
Rappelons que ces questions ne concernent pas les relations de travail ni les griefs.
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