Je travaille à l’Université du Québec en Outaouais. Il y a à peine deux ans, j’aurais aussi été dans l’impossibilité de composter sur mon lieu de travail. Nous étions plusieurs à s’indigner. Et nous avons entrepris des démarches. Toute la communauté nous a supporté si bien que le compost est non seulement récupéré, mais l’UQO a engagé une coordinatrice au développement durable à temps plein et que celles-ci coordonne désormais la gestion de déchets spécifiques (batteries, crayons, restes de traiteurs, etc.) en plus d’organiser des activités de sensibilisation et de réflexion sur notre empreinte institutionnelle. Ainsi, tous les nombreux membres de notre communauté pour composter mais, en plus, ils améliorent leurs pratiques environnementales, au travail comme à la maison. Cette initiative a eu un effet très structurant à l’UQO qui entame sa transition verte avec enthousiasme. Lire la suite