L’année 2019 s’est bien mal terminée avec sept (7) griefs, seulement au mois de décembre. Nous en sommes donc à un total de vingt-sept (27) griefs. Quatre (4) avis d’arbitrage ont également été déposés dans la même période. Les relations de travail ne vont plus. Il faut espérer que la nouvelle personne au Rectorat relèvera le défi d’améliorer nos relations de travail.
En ce qui a trait à la formation pour prévenir les violences à caractère sexuel, nous avons dû déposer un grief. C’est un principe de base qu’un Employeur ne doit pas exiger des membres de son personnel de travailler gratuitement. Tout le processus judiciaire coûtera beaucoup d’argent à l’UQO!
Les dossiers négatifs sont nombreux : refus d’inclure la mention recherche dans les formulaires de présentation des personnes chargées de cours sur le site de l’UQO, non-respect de la note de 3,6 pour les évaluations de l’enseignement jugées insatisfaisantes, non-émission du formulaire T2200, arrêt de paiement des repas pour les formations collectives (pratique qui a commencé en 1997 et qui s’est arrêtée sans entente avec le Syndicat au Comité de perfectionnement)…
Pour l’année 2020, en plus de vouloir une meilleure intégration, une meilleure valorisation de notre rôle de personne chargée de cours et de meilleures relations de travail, je nous souhaite une rectrice ou un recteur avec une vision pour l’UQO qui nous inclut à part entière. Assurez-vous de voter pour que nous soyons entendus!
Marie-Josée Bourget
Présidente
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