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Trois ans après les révélations-choc de l’Enquête sexualité, sécurité et interactions en milieu universitaire (ESSIMU), «on n’a pas éliminé les problèmes», constate la chercheuse principale derrière le rapport, Manon Bergeron.

Il y a trois ans jour pour jour était diffusée l’ESSIMU, un large sondage mené auprès d’étudiants et d’employés de six établissements d’enseignement supérieur québécois. Constat principal : plus du tiers des répondants et des répondantes avaient dû composer avec une forme de violence sexuelle depuis leur arrivée à l’université.

Au même moment, le phénomène de dénonciation des agresseurs #MoiAussi atteignait le Québec. À la fin 2016, l’Université Laval vivait un drame à la suite d’intrusions dans ses résidences. Lire la suite…