Cette période de crise peut amener son lot d’anxiété et de détresse. C’est notamment le cas chez nos étudiantes et nos étudiants. Réussite de leurs cours, difficultés économiques et professionnelles et enfants à charge amènent cette angoisse chez plusieurs.
Toutefois, ces situations difficiles ne devraient en aucun cas justifier des propos diffamatoires, injurieux, haineux, homophobes, sexistes et racistes. Plusieurs de nos membres nous ont rapporté de tels propos à leur égard, notamment sur les réseaux sociaux.
Le Syndicat demande à toute la communauté universitaire de l’UQO de rester vigilante contre de telles situations. Le Syndicat demande aussi à ses membres qui auraient été victimes de tels propos de faire des captures d’écran et de nous les acheminer. Rappelons que l’Université a un devoir de nous offrir un milieu de travail sain. Cette exigence légale doit être respectée, y compris en période de confinement.
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