OPINION / Avant l’arrivée de la pandémie de COVID-19, la société québécoise était déjà confrontée à des défis majeurs tels que la crise du logement, des inégalités sociales grandissantes, un système de santé fonctionnant bien au-delà de sa pleine capacité ainsi que plusieurs problèmes liés aux changements climatiques. La situation qui prévaut fait en sorte que nous nous apercevons à quel point ces défis nous rendent encore plus vulnérables en temps de crise. Cela nous force alors à réfléchir à nos modes de vie et à trouver des moyens pour accroître notre résilience.
D’un côté, certaines idées que nous hésitions à mettre en place à grande échelle se sont rapidement imposées comme des solutions efficaces pour répondre à la crise. C’est le cas notamment des mesures de télétravail et des mesures favorisant l’achat et la production locale de biens essentiels. Il semble même qu’un certain consensus ait émergé dans la société pour que nous explorions davantage ces avenues lorsque nous allons sortir de cette crise. Lire la suite de la lettre initiée par des étudiants de l’UQO…