Plusieurs universités québécoises constatent une hausse préoccupante des cas de tricherie et de plagiat depuis le début de la pandémie dans un contexte d’évaluation virtuelle propice à la malhonnêteté.
« La tendance à la tricherie et au plagiat est clairement à la hausse. On compte près de 40% d’augmentation depuis l’an dernier », laisse tomber la porte-parole de l’Université de Montréal, Geneviève O’Meara.
À l’Université Laval, on a confirmé au Journal que ce genre d’infractions liées aux études a atteint un sommet en cinq ans.
Les dénonciations de plagiat ou de tricherie ont bondi de 43% entre la session d’automne 2019 et celle d’hiver 2020, qui marque le début de la pandémie et des cours à distance. Lire la suite…