Au cours de la dernière année, les professeur.es de l’Université de Sherbrooke ont été fortement sollicités pour s’adapter à de nombreuses situations inédites dans leur parcours professionnel.
Non seulement ont-ils dû – comme tout citoyen – obéir aux consignes gouvernementales en matière de confinement et de prévention, mais également répondre aux attentes de leur employeur qui se distinguaient de celles des autres universités québécoises.
Il nous semble important de rendre compte ici des effets que cette réalité a eu sur notre vie quotidienne, en considérant les différents aspects de notre profession.
Une seule exception : l’Université de Sherbrooke.
Alors que la majorité des universités québécoises, pour ne pas dire l’entièreté, ont annoncé dès le début de la pandémie la conversion de l’enseignement présentiel en enseignement à distance, position qui s’est maintenue jusqu’à ce jour, l’Université de Sherbrooke s’est démarquée par une directive contraire et audacieuse : faire le plus possible de cours en présentiel. Ce fut chose faite d’ailleurs, puisqu’il a été possible de faire la majorité de l’enseignement en présentiel jusqu’en novembre. La deuxième vague a cependant forcé le retour à l’enseignement à distance, jusqu’à ce que la situation sanitaire s’améliore. Lire la suite…