Tout ça pour ça. Le 7 juin, l’Université de Toronto s’est remise en quête d’un candidat pour diriger son Programme international des droits de la personne, rattaché à sa faculté de droit.
Onze mois après avoir déniché la candidate idéale, en Allemagne.
Neuf mois après avoir dit à cette prof hautement qualifiée… d’oublier ça. Merci quand même, mais ne vous donnez pas la peine de défaire vos boîtes ; vos services ne sont plus requis dans la Ville Reine…
L’affaire a provoqué une crise sans précédent dans la plus grande université du pays. Trois démissions. Deux enquêtes. Un blâme officiel du syndicat des profs. Un boycottage d’universitaires et de personnalités canadiennes. Un reportage dans le New Yorker. Lire la suite…