Les inscriptions sont à la baisse cet automne dans les universités québécoises, particulièrement au premier cycle, qui enregistre une diminution de 2,5 %. Une situation que les établissements surveillent de près et qui s’explique notamment par la pénurie de main-d’oeuvre, plusieurs préférant travailler plutôt qu’étudier. En parallèle, les inscriptions des étudiants étrangers continuent de leur côté de monter en flèche, avec des niveaux qui atteignent un sommet.
Près de 312 000 étudiants fréquentent l’université ce trimestre et, tous cycles confondus, les inscriptions ont diminué de 1,4 % par rapport à l’automne dernier, indiquent des données préliminaires en provenance des universités et compilées par le Bureau de coopération interuniversitaire (BCI). « Ce recul est attribuable essentiellement aux personnes optant pour un cheminement à temps partiel », peut-on lire dans le rapport. Le BCI n’a pas souhaité accorder d’entrevue ni répondre à nos questions. Lire la suite…