Impression de déjà-vu à l’Université d’Ottawa, où un professeur de sciences politiques a essuyé les critiques de certains de ses étudiants pour avoir abordé «la situation du mot en ‘’n’’», sans nommer directement le terme, dans un de ses cours, en septembre dernier.
Le journal étudiant anglophone de l’Université d’Ottawa, The Fulcrum, indique dans un article du 2 novembre avoir reçu un courriel provenant d’étudiants qui dénoncent une discussion portant sur «le mot n», tenue dans le cadre d’un cours de pensée politique de deuxième année, donné par le professeur Jean-Rodrigue Paré, au mois de septembre.
«La classe discutait de la lecture assignée qui portait sur Socrate, le philosophe, et son raisonnement moral sur la justice. Soudainement, le professeur a évoqué le mot « n » en disant « comme la situation du mot « n »… oui, je vais en parler ». Il l’a évoqué comme un moyen de justifier que toutes les idées et tous les mots soient autorisés dans une salle de classe», a témoigné un des étudiants au Fulcrum, qui a demandé à ce que son identité demeure anonyme. Lire la suite…