L’histoire se répète pour les étudiants en psychoéducation, qui reviennent à la charge bon an mal an pour réclamer que leurs stages soient rémunérés. Mais cette fois, devant l’inflation et la criante pénurie de main-d’œuvre qui resserrent l’étau, ils craignent carrément qu’on «frappe un mur» si le statu quo est maintenu dans les universités.
En guise de protestation – le mouvement est provincial – la centaine d’étudiants en psychoéducation de l’Université du Québec en Outaouais (UQO) ont décidé de déclencher une grève du 23 au 27 janvier. Le groupe revendique que les stages réalisés dans le cadre de la formation universitaire, qui représentent jusqu’à une vingtaine d’heures par semaine, soient rémunérés comme c’est le cas dans d’autres domaines. Lire la suite…