La maîtrise de la langue de Shakespeare apparaît de plus en plus comme un incontournable à l’université, à la fois en recherche mais aussi en enseignement, alors que plus du quart des ouvrages à lire par les étudiants sont en anglais, selon une rare étude qui dresse le portrait de la place du français en enseignement supérieur au Québec.
Cette recherche, dont les résultats seront dévoilés jeudi lors d’un colloque à Montréal, a été réalisée par le Laboratoire interdisciplinaire de recherche en enseignement supérieur (LIRES) grâce à un financement de la Centrale des syndicats du Québec.
Elle s’appuie notamment sur une enquête à laquelle ont participé 820 professeurs et chercheurs dans les cégeps et universités francophones de la province. Lire la suite…