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La présence de l’intelligence artificielle dans les cégeps et les universités crée un dilemme moral déchirant et menace l’idée même de l’enseignement. L’espoir d’un moratoire circule, alors que se tient aujourd’hui, à Montréal, la Journée sur l’IA en enseignement supérieur.

Les professeurs au cégep et à l’université sont en pleine période de correction de fin de session. Et ils doivent composer avec une nouvelle réalité : le soupçon constant que certains de leurs étudiants ont eu recours à des outils comme ChatGPT dans la rédaction de leurs travaux.

Marianne Théberge-Guyon, chargée de cours à l’UQAM, fait partie des enseignants qui s’arrachent les cheveux, convaincus d’avoir reçu des travaux écrits par des agents conversationnels.

Le niveau d’écriture n’était pas celui que je connaissais de ces étudiants. Les références n’étaient pas liées au bon domaine. Il y avait beaucoup de drapeaux rouges qui se levaient, explique la jeune professeure et doctorante.  Lire la suite…