Une professeure de l’Université Laval, à Québec, écope d’une suspension de huit semaines sans salaire. Le syndicat associe la sanction à un déni de la «liberté universitaire», tandis que la direction reste muette. Des experts dénoncent une tendance «autoritaire» de plus en plus marquée à l’Université Laval.
À la fois l’université, la faculté et le syndicat de profs refusent de commenter.
Le 24 janvier dernier, le Syndicat des professeurs et professeures de l’Université Laval (SPUL) a adopté à l’unanimité une résolution dont Le Soleil a obtenu copie.
«Les membres du conseil syndical dénoncent sans réserve la sanction disciplinaire imposée, le 13 décembre 2024, à la professeure», lit-on dans le document d’une page et demie. Lire la suite…