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Nos collègues de l’Université Laval sont en grève

Nos collègues de l’Université Laval sont en grève

Fort d’un mandat de dix jours de grève obtenu à 93 %, les chargées et chargés de cours de l’Université Laval ont déclenché un arrêt de travail de quatre jours le jeudi 15 février dernier. 

Bien que des avancées significatives aient été observées du point de vue normatif, les négociations stagnent sur les clauses à incidence monétaire. En effet, nos collègues accusent un retard important par rapport aux collègues des autres universités québécoises. À l’expiration de leur convention collective le 31 décembre 2022, ce retard se chiffrait à plus de 1000 $ la charge de cours en comparaison aux salaires que nous connaissons en Outaouais. Par ailleurs, la négociation bloque toujours sur la question de la retraite. 

Mentionnons que l’Université Laval compte une très forte proportion de personnes chargées de cours vivant exclusivement de leurs charges de cours. La question salariale y est donc incontournable dans une période d’inflation impor

Dans un contexte de mobilité de la main-d’œuvre enseignante et de concurrence avec l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) au campus de Lévis et l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) à Québec même, il est intenable de maintenir de bas salaires à l’Université Laval. C’est l’avenir et la réputation de l’institution qui est en jeu.

Le SCCC-UQO appuie entièrement le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’Université Laval dans sa lutte. Nous sommes allés les appuyer à Québec les 18 et 19 janvier, et nous y retournerons au besoin! Solidarité!

Nicolas Harvey
Vice-président aux communications du SCCC-UQO

Inscrivez-vous au brunch familial de Gatineau

Inscrivez-vous au brunch familial de Gatineau

Le Syndicat vous invite, ainsi que votre famille, à un brunch syndical. L’activité aura lieu le dimanche 17 mars à partir de 10 h au bar étudiant Le Tonik, au pavillon Alexandre-Taché de l’UQO. Des activités seront organisées pour les enfants.L’activité est gratuite mais l’inscription est obligatoire. Veuillez remplir le formulaire.

Le brunch familial est l’occasion de rencontrer des collègues. Toute l’équipe syndicale sera présente!

Quand peut-on communiquer les notes finales aux étudiantes et étudiants?

Quand peut-on communiquer les notes finales aux étudiantes et étudiants?

Puisque que les notes des étudiantes et des étudiants doivent être soumises à la direction du Département pour approbation, il est important d’attendre qu’elles aient été approuvées avant de leur transmettre. Lorsque les notes finales sont approuvées et rendues disponibles aux étudiantes et aux étudiants, nous en sommes avertis par courriel.

Il est recommandé de ne pas transmettre les notes de la dernière évaluation avant que le Département n’ait approuvé les notes finales. En effet, si le Département vous demande de réviser les notes à la baisse, ajuster la note de la dernière évaluation sera plus facile si cette dernière n’a pas été communiquée aux étudiantes et aux étudiants.

Les universités réclament une vaste offensive pour le logement: il faudra héberger jusqu’à 13 000 étudiants supplémentaires d’ici 10 ans

Après les cégeps, c’est maintenant au tour des universités de réclamer une vaste offensive pour trouver rapidement des solutions à la pénurie de logements abordables, alors qu’il faudra héberger jusqu’à 13 000 étudiants supplémentaires d’ici 10 ans.

«Il faut admettre que la situation est urgente et préoccupante», affirme d’entrée de jeu Daniel Jutras, président du Bureau de coopération interuniversitaire (BCI) et recteur de l’Université de Montréal.

Alors que la pénurie de logements étudiants est bien réelle, la situation risque de s’aggraver davantage au cours des prochaines années selon les projections du réseau universitaire. Lire la suite…

Les universités à la rescousse des enseignants non légalement qualifiés

Plusieurs universités québécoises ont développé de nouveaux programmes pour répondre aux besoins des enseignants non légalement qualifiés et soutenir le milieu scolaire dans un contexte de pénurie. Certains programmes sont qualifiants, d’autres ont seulement pour objectif de former.

Alors qu’une pénurie touche le Québec, quelque 30 000 enseignants non légalement qualifiés (NLQ) ont prêté main-forte dans les salles de classe au cours de l’année scolaire 2020-2021. D’après le dernier rapport du Vérificateur général du Québec, cela représente près du quart des enseignants. Afin de répondre à cette problématique, plusieurs universités ont récemment ouvert des programmes de formation destinés aux enseignants NLQ. Ces programmes courts ou de type maîtrise sont pensés afin d’être en adéquation avec les réalités vécues par ces enseignants. Ils ne mènent cependant pas tous au brevet d’enseignement et ont parfois vocation à outiller sans qualifier. Lire la suite…