Le SCCC-UQO tiendra une Assemblée générale statutaire le lundi 13 novembre. Ce sera l’occasion d’élire plusieurs représentantes et représentants. Les membres avaient jusqu’au 8 novembre à 16 h pour faire acte de candidature. Voici les candidatures reçues.
Comité des statuts et règlements (2 postes)
Marc Aubé
Romain Vanhoreen
Comité de la liberté académique – titulaire (2 postes)
Nicolas Harvey
Romain Vanhoreen
Comité de la liberté académique – substitut (1 poste)
Dominique Langlais
Pascal Sergent
Comité de mobilisation (4 postes)
Pierre-Olivier Émond
Caroline Gagnon
Pascal Sergent
Martine Tremblay
Romain Vanhoreen
Comité d’orientation académique du site Web (1 poste)
J’aimerais pouvoir poursuivre mon mandat comme représentante des personnes chargées de cours au Comité institutionnel de la formation à distance (CIFAD).
Je crois que tant mon expérience d’enseignement que celle syndicale me permettent de bien représenter les personnes chargées de cours au CIFAD. Les premiers cours que j’ai donnés de 2002 à 2005 étaient à l’UQO en format comodal que nous appelions à l’époque cours à distance. Il s’agissait de cours de français qui relevaient du Département des sciences de l’éducation où le nombre de personnes inscrites à Saint-Jérôme était encore trop faible. Une partie de mon groupe était devant moi; l’autre, à Saint-Jérôme par vidéoconférence.
Par la suite, j’ai donné pendant un peu plus de 15 ans une formation collective sur l’enseignement à distance pour les ressources-enseignantes qui se voyaient contraintes à enseigner ainsi. Ces cours relevaient surtout du Département des sciences infirmières où plusieurs constituantes du réseau offraient les cours.
À l’Université d’Ottawa, j’ai créé un cours autoportant en 2005 qui s’est donné en mode asynchrone pendant quelques années et qui, par la suite, avait des séances en modes synchrone et asynchrone. Avec l’ex-Centre du cyber@pprentissage, j’ai aussi créé un site Web pour l’amélioration du français avec un budget d’un peu plus de un demi-million échelonné sur quelques années.
Depuis 2018, j’enseigne des cours asynchrones ou synchrones à l’Université Laval, université qui offre le plus de cours à distance au Canada.
Pour notre fédération, la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ/CSN), je fais partie du Comité sur la formation à distance depuis environ cinq ans.
Toutes mes expériences me permettent de croire que je pourrai bien m’acquitter de mes tâches de représentante au CIFAD.
Je vous prie de recevoir, Madame la Secrétaire générale, mes plus sincères salutations.
Marie-Josée Bourget Chargée de cours Département des sciences de l’éducation
Par la présente, je désire poser ma candidature au poste de membre du comité de révision des Statuts et Règlements.
Je me suis impliqué syndicalement depuis plus de 25 ans. J’ai occupé plusieurs postes syndicaux au SCCC-UQO, notamment comme membre du comité de mobilisation, Vice-président à l’information à deux reprises, Président du SCCC-UQO pendant trois ans, membre du comité de négociation à trois reprises et membre du comité de révision des Statuts et Règlements en 2012 et 2022. Mon expérience et mes connaissances en la matière me permettront d’aider l’équipe en place à réaliser le mandat. Je crois donc être un candidat de choix pour ce poste.
Veuillez agréer de mes salutations les plus distinguées.
Marc Aubé
Chargé de cours Département d’informatique et d’ingénierie
Je m’appelle Romain Vanhooren et je suis chargé de cours en éducation à l’UQO depuis 8 ans maintenant. J’ai décidé de soumettre ma candidature pour siéger sur le comité de travail concernant la liberté académique lancé par l’UQO. Voici les raisons qui expliquent ma motivation à faire partie de ce comité.
J’ai eu la chance depuis 1 an de participer au comité de la liberté académique. J’ai été présent aux nombreuses rencontres qui ont permis au comité de déboucher sur une politique qui a été adoptée par la suite par toutes les instances de l’UQO.
Cette politique prévoit notamment qu’un comité soit créé pour discuter des potentiels cas litigieux mais surtout pour travailler sur la promotion de cette politique auprès de tous les membres de la communauté universitaire. Ce point est fondamental selon moi. Nous ne devons pas seulement attendre les potentiels conflits mais plutôt agir en amont et créer du matériel pour faire la promotion de cette politique. L’autocensure n’est pas la solution comme l’a montré cette politique. Il faut donc en faire la promotion et c’est sur quoi je veux travailler.
Bien qu’exhaustif, ce résumé présente certaines des raisons qui me poussent à vouloir participer à ce comité. Je demeure disponible pour discuter avec chacun d’entre vous, et ce, toujours dans le respect.
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