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Les 245 professeurs de l’Université du Québec à Rimouski en grève

Les 245 professeurs de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) ont déclenché la grève mardi.

Ils s’étaient dotés d’un mandat de grève générale illimitée, appuyé à 93,5 %, à la toute fin du mois d’août, et les négociations avec la direction de l’université devaient se poursuivre dans les semaines suivantes. Les syndiqués avaient alors fixé au 10 octobre la date limite pour en arriver à une entente avec la partie patronale quant au renouvellement de la convention collective, à défaut de quoi la grève serait déclenchée.

Et cette grève a bel et bien été déclenchée mardi matin, a confirmé le Syndicat des professeurs et professeures de l’UQAR. Pour le moment, la grève devrait se poursuivre au moins jusqu’à mercredi. Une assemblée générale des membres est prévue, où l’on décidera de la suite des choses. Lire la suite…

Quatrième appel à projets d’intégration

Quatrième appel à projets d’intégration

Bonjour à toutes et à tous,

Le Comité universitaire d’intégration pédagogique (CUIP) invite les personnes chargées de cours intéressées à soumettre leur projet pédagogique pour le quatrième appel à projets d’intégration de l’année universitaire 2023-2024. Pour ce faire, vous êtes invités à acheminer votre projet au Décanat de la gestion académique (lien ci-dessous) avec copie à integration@sccc-uqo.ca. et ce, d’ici le vendredi 3 novembre 2023 à 17h. À noter que les projets soumis et acceptés devront être complétés au plus tard le 30 avril 2024.

Vous trouverez à l’adresse suivante le formulaire à utiliser pour la soumission de votre projet : http://uqo.ca/docs/9750

Il est important de détailler les étapes de votre projet et d’indiquer, pour chacune d’elle, le nombre d’heures prévues. Si vous avez des questions pour la rédaction de votre offre de projet, n’hésitez pas à contacter vos représentantes syndicales membres du comité : madame Farida Djoudi farida.djoudi@uqo.ca et madame Annie Duplessis annie.duplessis@uqo.ca

De plus, avec le renouvellement de la convention collective, la clause 26.05 prévoit un montant de trente mille dollars (30 000$) réservé à même le budget d’intégration pour des projets de recherche et d’intégration. Pour l’exercice 2023-2024 ce montant est d’ores et déjà octroyé dans sa totalité. Les personnes chargée.es de cours intéressées (la personne chargée de cours doit être titulaire d’un doctorat (PhD) et son projet doit s’inscrire dans le cadre d’un projet de recherche subventionné et soutenu par une professeure ou un professeur de l’UQO) pourront faire leur demande à partir du premier appel à projets, lors du prochain exercice 2024-2025.

https://uqo.ca/direction-services/decanat-gestion-academique/programme-dintegration-pedagogique-personnes-chargees

Salutations,

Le comité d’intégration pédagogique des personnes chargées de cours

Collège Regina Assumpta : Une première école privée en grève

Les enseignants du collège privé Regina Assumpta, dans le nord de Montréal, ont déclenché une grève d’une journée en quittant leur classe à 10 h 30 mercredi. Ils affirment qu’après 15 séances de négociation, la direction ne propose aucune solution et se « braque ». Cette grève pourrait-elle avoir un effet boule de neige dans d’autres écoles ?

La Fédération nationale des enseignants et enseignantes du Québec, qui représente 46 écoles privées, dont 11 actuellement en négociations, affirme qu’aucune autre grève n’est prévue à court terme. « Pour l’instant, c’est la première école où on fait la grève et on n’est pas rendu là ailleurs. […] À Regina, c’est plus difficile. La direction dit malheureusement non à tout. Elle bloque », explique le vice-président Léandre Lapointe.

Même son de cloche à la Fédération du personnel de l’enseignement privé, qui représente plus de 45 écoles privées, dont 25 sont en négociations cet automne. « De notre côté, on n’est pas dans cet état d’esprit. Pour l’instant, les négos vont bon train », affirme Stéphane Lapointe, président de ce syndicat affilié à la Centrale des syndicats du Québec. Lire la suite…

Plan d’action sur le français : Québec serre la vis à McGill et à Netflix

Les droits de scolarité seront revus à la hausse pour les étudiants venus de l’étranger ou des autres provinces canadiennes qui fréquentent une université anglophone. Et une loi forcera les plateformes numériques comme Spotify et Netflix à donner plus de place au contenu québécois.

Un peu plus d’une semaine après avoir perdu son siège de Jean-Talon aux mains du Parti québécois, le gouvernement Legault passe à l’attaque sur le front linguistique.

En entrevue avec La Presse, le ministre de la Langue française, Jean-François Roberge, ouvre son jeu sur son plan d’action dont le dépôt est prévu à la mi-novembre. C’est le fruit, très attendu, du groupe d’action pour l’avenir de la langue française formé en janvier et réunissant six ministres. Lire la suite…

Réforme Dubé : Une attaque contre les femmes

Réforme Dubé : Une attaque contre les femmes

CSN – Peu nombreuses aux commandes, ce sont majoritairement les femmes qui feront les frais de la réforme Dubé. Une réalité complètement occultée par le gouvernement.

Elles subiront la réforme comme membres du personnel, à 80 % féminin. Les travailleuses verront encore une fois leur environnement de travail bouleversé et les centres de décision s’éloigner encore plus de leur réalité quotidienne.

Elles continueront de soutenir à bout de bras les soins et les services, à coups
d’heures supplémentaires et sans voir la moindre diminution de leur charge de travail ni aucune amélioration en matière d’accessibilité pour les patientes et patientes. Le constat est le même dans les organismes communautaires, où les femmes devront encore se battre pour conserver leur peu d’autonomie et pour obtenir un financement adéquat.

Elles subiront aussi la réforme comme proche aidante, car ce sont surtout les femmes qui prennent soin de leurs proches, palliant une fois de plus les manques de l’État. Comme elles n’ont pas le luxe des services offerts au privé, ce sont aussi elles qui prendront soin de leurs parents et de leurs enfants, souvent au détriment de leur carrière. Enfin, la réforme touche les femmes jusque dans leur façon d’aborder la grossesse, et se voit dénoncée tant par les sages-femmes que par les organismes communautaires d’accompagnement à l’interruption de grossesse.

La santé et les services sociaux reposent, depuis toujours, sur le travail des femmes. Reste maintenant à voir quelle place le gouvernement leur réserve au sein de cette équipe de « top-guns» qu’il placera à la tête
de l’agence Santé-Québec

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