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Détroussés par de faux étudiants étrangers

Avez-vous déjà perdu un dépôt pour un achat sur l’internet ? Loué un chalet dont vous n’avez jamais vu la couleur ? Un réseau d’une centaine de faux étudiants d’Afrique de l’Ouest installés au Québec multiplie les fraudes sur les sites de petites annonces, faisant « plusieurs centaines de victimes », selon un rapport de renseignement obtenu par La Presse.

Le groupe, désigné sous le nom de « crime organisé africain » par l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC), aurait aussi fraudé la Prestation canadienne d’urgence à hauteur d’au moins 250 000 $.

« Les membres du crime organisé africain sont impliqués au Québec dans une panoplie de fraudes par hameçonnage sur l’internet », indique le rapport de renseignement de l’ASFC. Lire la suite…

Lac-à-l’épaule

Lac-à-l’épaule

Le 17 juin avait lieu le lac-à-l’épaule du Comité exécutif du SCCC-UQO. Dans cette vidéo, Catherine et Marie-Josée explique pourquoi le Syndicat tient cette instance. Depuis la pandémie, ce type de réunions se tient deux fois par année.

Second appel à projets d’intégration

Second appel à projets d’intégration

Bonjour à toutes et à tous,

Le Comité universitaire d’intégration pédagogique (CUIP) invite les personnes chargées de cours intéressées à soumettre leur projet pédagogique pour le second appel aux projets d’intégration de l’année universitaire 2023-2024. Pour ce faire, vous êtes invités à acheminer votre projet au Décanat de la gestion académique (lien ci-dessous) avec copie à integration@sccc-uqo.ca et ce, d’ici le vendredi 7 juillet 2023 17h. À noter que les projets soumis et acceptés devront être complétés au plus tard le 30 avril 2024.

Vous trouverez à l’adresse suivante le formulaire à utiliser pour la soumission de votre projet : http://uqo.ca/docs/9750

Il est important de détailler les étapes de votre projet et d’indiquer, pour chacune d’elle, le nombre d’heures prévues. Si vous avez des questions pour la rédaction de votre offre de projet, n’hésitez pas à contacter vos représentantes syndicales membres du comité : madame Farida Djoudi farida.djoudi@uqo.ca et madame Annie Duplessis annie.duplessis@uqo.ca

De plus, avec le renouvellement de la convention collective, la clause 26.05 prévoit un montant de trente mille dollars (30 000$) réservé à même le budget d’intégration pour des projets de recherche et d’intégration. Pour pouvoir faire une demande en lien avec ce budget, la personne chargée de cours doit être titulaire d’un doctorat (PhD) et son projet doit s’inscrire dans le cadre d’un projet de recherche subventionné et soutenu par une professeure ou un professeur de l’UQO. Pour faire ce type de demande, veuillez, SVP, tout de même utiliser le formulaire de soumission de projet et remplir les différentes sections.

https://uqo.ca/direction-services/decanat-gestion-academique/programme-dintegration-pedagogique-personnes-chargees

Cordialement,

Le comité d’intégration pédagogique des personnes chargées de cours

L’UQO adopte sa politique sur la liberté académique

L’Université du Québec en Outaouais vient d’adopter sa politique sur la liberté académique. L’UQO vient ainsi répondre à une nouvelle exigence de Québec, avec l’adoption de la loi sur la liberté académique en milieu universitaire. Ça vise, notamment, à éviter des situations similaires à ce qui s’est produit avec le mot en « N » à l’Université d’Ottawa.

Cette politique vient établir des balises pour assurer le droit d’enseigner sans contrainte et censure, assure l’université. Elle veut éviter d’autres situations, comme celle de l’Université d’Ottawa en 2020, où une enseignante a été suspendue après avoir utilisé le mot en « N » en salle de cour.

Le gouvernement du Québec a donc adopté une loi obligeant les universités à se doter d’une politique sur la liberté académique, ce que vient de faire l’UQO en formant un comité à cet effet. Lire la suite…

Le SCCC-UQO applaudit l’adoption de la Politique sur la liberté académique

Le SCCC-UQO applaudit l’adoption de la Politique sur la liberté académique

Le 12 juin 2023, le Conseil d’administration de l’UQO a adopté sa Politique sur la liberté académique. Cette politique découle de la Loi sur la liberté académique dans le milieu universitaire adoptée par l’Assemblée nationale le 3 juin 2022. 

« Cette Politique permettra de mieux protéger les chargées et chargés de cours de l’UQO », a déclaré Marie-Josée Bourget, présidente du Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQO (SCCC-UQO). « Elle est aussi le résultat de longs travaux qui ont été conclus par un consensus entre les personnes chargées de cours, étudiantes, professeures et cadres de l’UQO », a poursuivi Madame Bourget.

Contrairement à ce qui s’est produit dans d’autres universités, l’UQO n’a pas connu de dérapages importants en matière de liberté académique. Toutefois, l’Assemblée générale du SCCC-UQO avait adopté neuf principes pour protéger cette liberté en 2021.

Les 700 chargées et chargés de cours, dont le tiers enseignent à Saint-Jérôme, offrent environ 73 % des cours de premier cycle, 43 % des cours de second cycle et 20 % des cours de troisième cycle. Le SCCC-UQO est le syndicat le plus représentatif de l’UQO.

L’université soumise aux entreprises

Un gouvernement dévoile sa pensée de multiples façons : dans ses discours, dans ses lois, dans les consignes et ordres donnés aux représentants de l’État, mais aussi (peut-être surtout) dans les dépenses qu’il choisit de faire (ou de ne pas faire). Ainsi est-ce par la Politique de financement des universités que se révèle, en filigrane, ce que tel ou tel gouvernement pense des universités, quelle conception il se fait d’elles, de leur rôle dans la société, des missions qu’on doit (ou non) leur confier.

À cet égard, l’appel de mémoires lancé par la ministre de l’Enseignement supérieur, en mai dernier, fait voir une pensée on ne peut plus nette, qui soumet l’université aux entreprises et attend essentiellement d’elle des retombées économiques sonnantes et trébuchantes. Selon cet appel, il s’agit « d’améliorer la contribution des établissements universitaires aux enjeux de main-d’oeuvre dans les secteurs stratégiques pour l’économie québécoise » et de « renforcer la capacité des établissements universitaires de valoriser, sur le plan économique, la recherche et l’innovation ». Lire la suite…

Manger de la misère pour créer la science de demain?

Vous avez sans doute entendu parler, dans les dernières semaines, des étudiantes et étudiants aux cycles supérieurs qui dénoncent les conditions précaires qui leur sont imposées afin de poursuivre leur formation scientifique. Aujourd’hui, le directeur général de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) et les représentantes et représentants des associations étudiantes du seul établissement universitaire au Canada voué exclusivement à la formation scientifique aux cycles supérieurs souhaitent unir leur voix à celle de la relève scientifique de partout au Canada pour dénoncer les appuis financiers injustes offerts à la population étudiante.

Nous vivons dans une société du savoir. Faut-il le répéter ? Cela veut dire que le bien-être et la qualité de vie des citoyennes et citoyens du Québec dépendent de la recherche et de l’innovation que nous sommes en mesure d’appuyer. Toutes les sociétés du savoir dépendent donc de manière explicite de leur capacité à former à répétition des vagues de jeunes scientifiques aptes à innover et à faire avancer les connaissances et la qualité de vie. Comment pourra-t-on arriver à assurer la prospérité de la population canadienne si l’on fait l’économie d’une relève scientifique de haut calibre et compétitive en offrant aux aspirantes et aspirants scientifiques des conditions de vie sous le seuil de la pauvreté ? Lire la suite…

L’urgence d’investir dans l’Université du Québec

Alors que le gouvernement lance une consultation dans le cadre des travaux de révision du mode de financement des universités, l’Université du Québec (UQ) constate que le portrait de la population qui détient une formation universitaire au Québec a de quoi inquiéter, et réaffirme toute l’importance d’avoir un réseau financé à la hauteur de ses ambitions.

Fondée en 1968, l’UQ a été créée avec la vision audacieuse de rendre l’enseignement supérieur accessible à tous les Québécois et les Québécoises, en réduisant les barrières géographiques et économiques. Depuis, le réseau de l’UQ a joué un rôle déterminant pour répondre aux défis actuels du Québec et a diplômé plus de 800 000 personnes dans toutes les régions et dans tous les secteurs d’activité.

Le réseau de l’UQ joue un rôle majeur dans la promotion de l’enseignement universitaire. Chaque année, environ 100 000 étudiantes et étudiants, soit près du tiers de la population étudiante au Québec, entreprennent des études universitaires grâce à la qualité et à la proximité d’un des dix établissements de l’UQ. En outre, plus de la moitié de la population étudiante de l’UQ est constituée des premiers de leur famille à fréquenter l’université, illustrant bien l’apport significatif des établissements de l’UQ sur les vies, les familles et les collectivités. Lire la suite…

L’Université du Québec réclame 100 millions de plus par année

Estimant être victime de « sous-financement chronique », et dans l’espoir d’augmenter le nombre de diplômés universitaires francophones, le réseau de l’Université du Québec (UQ) demande au gouvernement Legault un « réinvestissement majeur de rattrapage » d’au moins 100 millions de dollars par année.

« Nous avons fait des pas importants, mais c’est une oeuvre inachevée, lance le président de l’UQ, Alexandre Cloutier, en parlant de la création du réseau en 1968. Lorsqu’on regarde froidement les chiffres en termes de diplomation, nous sommes convaincus que nous pouvons faire mieux. »

Dans une lettre ouverte publiée dans les pages du Devoir, le président de l’UQ et les dirigeants des 10 établissements du réseau s’inquiètent de l’écart entre le Québec et le reste du Canada. Ils prennent publiquement la parole après que la ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry, a lancé en mai un appel aux mémoires en vue d’une révision de la politique de financement des universités. Lire la suite…