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Faites une demande de perfectionnement

Faites une demande de perfectionnement

Aux personnes chargées de cours,

Les membres du Comité de perfectionnement désirent vous informer que vous avez jusqu’au 1er mars 2023 pour présenter une demande de perfectionnement pour le trimestre d’été 2023 sous le volet acquisition des connaissances (bourse d’étude). Il est impératif de respecter l’échéance du 1er mars 2023 pour les demandes faites sous ce volet.

Nous vous rappelons toutefois que vous pouvez présenter en tout temps une demande de perfectionnement sous le volet mise à jour des connaissances (participation à un colloque). Notez que pour qu’une demande soit considérée, elle doit être acheminée au moins 10 jours ouvrables avant la tenue de l’activité de perfectionnement. Le Comité étudiera les demandes au fur et à mesure qu’il les recevra, et ce, sous réserve des fonds disponibles.

Toutes les demandes doivent être faites au moyen du formulaire que vous trouverez à l’adresse suivante :

https://uqo.ca/direction-services/decanat-gestion-academique/formulaire-demande-perfectionnement. Notez que vous devez vous authentifier sur le portail de l’UQO pour avoir accès au formulaire.

Vous pouvez consulter la Politique de perfectionnement en cliquant sur ce lien : https://uqo.ca/sites/default/files/fichiers-uqo/secretariat-general/perfectionnement-cc.pdf

Cordialement,

Le Comité de perfectionnement

Franc succès pour la mobilisation de la Saint-Valentin

Franc succès pour la mobilisation de la Saint-Valentin

Le 14 février, un kiosque s’est tenu à Gatineau (9 h à 19 h) et à Saint-Jérôme (11 h 30 à 16 h). Du chocolat, du café, des macarons et des stylos ont été offerts à la communauté universitaire. De plus, mille tracts ont été distribués. L’activité avait comme thème : « Les chargées et chargés de cours ne vivent pas que d’amour et d’eau fraîche ». Ce thème fait référence à nos demandes salariales dans un contexte de forte inflation.

Nous avons senti un fort appui de la communauté universitaire à notre cause. D’autres activités de mobilisation seront organisées dans les prochains jours!

54 millions pour lutter contre les violences sexuelles

La ministre de L’Enseignement supérieur, Pascale Déry, a dévoilé lundi à Montréal les détails du nouveau plan quinquennal de 54 millions pour contrer les violences à caractère sexuel en enseignement supérieur.

La mesure tombe à pic : deux études distinctes indiquent que plus du tiers des membres des communautés collégiale et universitaire rapporte avoir subi au moins une forme de violence sexuelle depuis leur arrivée dans l’établissement.

L’enveloppe de 54 millions sur cinq ans représente une augmentation de 25 millions par rapport au budget précédent. Lire la suite…

Une entente de principe est conclue à l’Université Memorial de Terre-Neuve

Une entente de principe est survenue vendredi entre l’Université Memorial de Terre-Neuve et les professeurs en grève depuis une douzaine de jours.

Le président du syndicat, Ash Hossain, avait déclaré jeudi qu’il voyait de plus en plus de signes positifs dans les négociations, mais il redoutait que la grève ne se poursuive au-delà de la mi-session, le 20 février.

Vendredi, la direction de l’université a annoncé une entente de principe. Ash Hossain a confirmé que c’était le cas.

Dans un communiqué, le recteur par intérim de l’université, Neil Bose, a écrit vendredi que le contrat proposé offrait des améliorations généreuses pour soutenir nos estimés collègues de la faculté, tout en préservant la viabilité à long terme de l’Université Memorial. Lire la suite…

Le SCCC-UQO a sa page complète dans le Droit

Le SCCC-UQO a sa page complète dans le Droit

Nous sommes rendus au 14e mois de négociation de la Convention collective. Nous assistons ainsi à une accélération de la mobilisation. Pour la Saint-Valentin, nous avons utilisé le thème « Les chargées et chargés de cours ne vivent pas que d’amour et d’eau fraîche ». Ainsi, une pleine page de publicité a été achetée dans le quotidien papier Le Droit ainsi que dans ses versions numériques. Des kiosques seront aussi organisés à Gatineau et à Saint-Jérôme le 14 février. Venez-nous voir! Enfin, une nouvelle vidéo sur les demandes salariales est disponible sur notre site Internet.

Par ailleurs, une Assemblée générale de grève aura lieu le 28 février.

La ministre Pascale Déry devrait présenter ses priorités

La ministre Pascale Déry devrait présenter ses priorités

CSN – La pandémie a provoqué des retards d’apprentissage et de formation qui se répercutent sur l’enseignement supérieur et il faudra des moyens suffisants pour assurer la réussite éducative du plus grand nombre.

La CSN, la centrale syndicale la plus représentative en enseignement supérieur au Québec, estime que Pascale Déry tarde à faire connaître ses priorités, comme l’a fait son collègue Bernard Drainville, alors que les collèges et les universités ont pourtant des besoins criants.

Dans une récente nouvelle de TVA, la ministre Déry a raison de vouloir augmenter le taux de diplomation, mais cela n’arrivera pas par magie. « Il faudra donner aux cégeps et aux universités les moyens nécessaires pour avoir un personnel suffisant, tant pour l’enseignement et l’aide aux étudiantes et aux étudiants en difficulté, que du côté des employé-es de soutien », soutient Caroline Senneville, présidente de la CSN, qui précise que le manque de personnel et la surcharge actuelle de travail ne permettent pas de faire un travail optimal. Les établissements d’enseignement supérieur souffrent d’un sous-financement chronique depuis plusieurs années.

La pandémie a provoqué des retards d’apprentissage et de formation qui se répercutent sur l’enseignement supérieur et il faudra des moyens suffisants pour assurer la réussite éducative du plus grand nombre. On pense notamment à l’apprentissage du français écrit qui cause des difficultés à un nombre grandissant d’étudiantes et d’étudiants. Il faut s’en occuper sérieusement.

La CSN déplore que la ministre semble préoccupée seulement par les besoins actuels du marché. Elle cite les bourses Perspectives qui ciblent certaines professions au détriment des autres. « Ces bourses ne fonctionnent pas et ne garantissent pas une rétention des personnes une fois en emploi », précise Caroline Senneville, qui estime que la vision de la ministre Déry devra dépasser cette approche centrée uniquement sur la photo des pénuries de main-d’œuvre actuelles.

Source : www.csn.qc.ca

Sondage important sur la recherche des chargées et chargés de cours

Nous vous invitons à répondre à un sondage important à l’adresse : https://fr.surveymonkey.com/r/YKFKWHW

Un comité sur la recherche des chargées et chargés de cours a été mis sur pied après le Forum sur les enseignantes et enseignants universitaires contractuels : Construire une place pour l’avenir tenu le 22 novembre 2021 et auquel le scientifique en chef du Québec, M. Rémi Quirion, avait participé. L’objectif du comité est de réfléchir à des moyens et à des solutions pour favoriser la recherche ou la recherche-création des personnes chargées de cours et pour s’assurer que ce travail soit rémunéré et reconnu à sa juste valeur.

Ce sondage permettra d’avoir un portrait actuel et précis de la contribution en recherche des personnes chargées de cours de tout le Québec et des conditions dans lesquelles s’exercent ces activités de recherche.

Si vous faites de la recherche ou de la recherche-création, en avez fait dans les cinq dernières années ou désirez en faire, mais rencontrez actuellement des écueils pour y arriver, votre collaboration est très importante. Il ne vous prendra qu’entre 8 à 10 minutes pour compléter le sondage.


SVP, veuillez répondre avant le 24 février 2023.
Nous vous remercions de votre collaboration.

Assurance de confidentialité : Vos réponses seront traitées de manière totalement confidentielle. Nous ne disposons d’aucun moyen permettant de vous lier à celles-ci.

L’importance de bien négocier la formation à distance

L’importance de bien négocier la formation à distance

L’avez-vous remarqué? Ni l’UQO ni le SCCC-UQO n’utilisent l’expression « formation à distance » (FAD) pour décrire l’offre de cours de l’hiver 2023. L’idée d’utiliser l’expression « enseignement en mode non présentiel » (EMNP) n’est pas qu’un débat d’ordre sémantique, elle relève plutôt de différences fondamentales, bien qu’elles aient en commun de ne pas se faire en présentiel.

À l’UQO, l’EMNP a été un compromis temporaire pour maintenir la continuité pédagogique. Au trimestre d’été 2020, l’EMNP a été une adaptation du mode d’enseignement afin que les étudiantes et les étudiants puissent poursuivre leur parcours. Mentionnons que le monde universitaire est rendu très concurrentiel et que des universités profitent de la crise pour recruter « une clientèle étudiante ». L’UQO ne pouvait pas rester les bras croisés, tandis que des universités achetaient à grands coûts de la publicité pour faire la promotion de leurs formations à distance. Enfin, c’était dans l’intérêt du SCCC-UQO de pouvoir donner de l’emploi à ses membres en mai et en juin. De plus, si l’UQO souhaitait offrir des cours en juillet et en août, nous pensions que plusieurs personnes chargées de cours auraient répondu présentes!

L’EMNP n’est pas de la FAD

Dans l’urgence, les chargées et les chargés de cours doivent convertir leur enseignement en mode non présentiel. Ils le font selon leurs connaissances, leurs compétences et les ressources qu’ils ont. Malgré qu’ils aient accès à un soutien technopédagogique et à des formations, ils n’ont pas accès aux ressources nécessaires afin de créer une véritable FAD. D’ailleurs, le temps consacré à l’EMNP ne correspond pas à celui de la FAD. Le résultat sera des cours plus artisanaux et moins aboutis que s’ils avaient été conçus en mode FAD.

Le problème est que l’UQO a décidé de poursuivre l’EMNP après la fin de l’état d’urgence sanitaire. Pourtant, la Convention collective ne traite aucunement de cette situation. C’est pourquoi nous devons nous assurer, dans la présente négociation, de bien conventionner cette pratique.

Il y aura probablement un jour de la véritable FAD à l’UQO, notamment selon le mode hybride. Toutefois, la FAD devra être conventionnée, bien encadrée et bien rémunérée. Elle devra être effectuée dans le respect de la mission éducative de l’UQO : démocratiser l’enseignement supérieur dans les Laurentides et en Outaouais. Elle devra offrir le meilleur encadrement possible pour les étudiantes et les étudiants. Elle ne devra pas se déployer pour faire des économies ou pour pallier la pénurie de locaux. Enfin, elle ne devra jamais remplacer l’enseignement en présentiel. Le SCCC-UQO sera là pour s’assurer que la FAD se développe pour de bonnes raisons et dans de bonnes conditions.

En somme, la formation à distance est un véritable enjeu de la présente négociation!

Nicolas Harvey
Vice-président aux communications

*Adaptation d’un texte déjà publié le 3 mai 2020

Le cœur des négos sera «difficile», admet la rectrice de l’UQO

Combiné à la forte inflation et la pénurie de main-d’œuvre qui brouillent sérieusement les cartes, le noyau dur des négociations pour le renouvellement des conventions collectives à l’Université du Québec en Outaouais (UQO), qui s’amorce tout juste, risque d’être «difficile», avoue la rectrice Murielle Laberge. 

«Dans une négociation, c’est sûr que quand on arrive au (volet) monétaire, peu importe le contexte, on est toujours à deux pôles, puis souvent même aux extrémités d’un même pôle. Mais là, avec le contexte de l’inflation, si souvent les gens demandent du 2%, du 4% plus l’Indice des prix à la consommation (IPC), mais avec un IPC qui est à 6% ou 8%, vous comprendrez que si quelqu’un demande disons 2% plus, et mettons-le au minimum, un IPC à 6%, ça fait 8% par année. Sur trois ans, c’est 24% d’augmentation. Il n’y a pas un employeur qui est capable de donner 24% d’augmentation sur trois ans, alors comment se rejoindre? Ça va être ça mon défi», lance-t-elle. Lire la suite…