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Les Québécois invités à parler de leurs écoles

Une série de rencontres permettant aux Québécois de discuter de ce qui « ne tourne pas rond » dans le système d’éducation sera organisée au printemps par des organisations citoyennes qui défendent l’école publique. « Parlons éducation » souhaite ainsi pallier « l’inertie gouvernementale ».

Au cours des prochains mois, le projet « Parlons éducation » entend mener une tournée au Québec au cours de laquelle les citoyens seront invités à se prononcer sur divers enjeux qui touchent le milieu de l’éducation. Le lancement officiel aura lieu mardi.

L’initiative est le fait de quatre mouvements, soit Debout pour l’école !, École ensemble, Je protège mon école publique et le Mouvement pour une école moderne et ouverte. Au cours des dernières années, tous ont pris position en matière d’éducation sur la place publique, parfois pour dénoncer les coupes budgétaires, les écoles vétustes ou demander que le gouvernement cesse de financer les écoles privées. Lire la suite…

Négociation : des avancées sur le front des EQE

Négociation : des avancées sur le front des EQE

Les deux dernières journées de négociation se sont tenues les 6 et 11 janvier. Les EQE ont été le principal objet de discussion.

Bonne nouvelle! L’Université consent à ce que les EQE n’aient plus de date de péremption. En effet, nous pouvions perdre les EQE d’un cours que nous n’avions jamais enseigné après 6 ans. De plus, l’Employeur consent à ce que les demandes d’EQE puissent être traitées pendant la période d’attribution ultérieure. Cela aura pour conséquence de protéger encore plus le bassin d’emplois et d’éviter certaines embauches externes. Toutefois, il n’y aura pas de traitement des demandes d’EQE l’été et pendant les périodes d’attributions régulières.

Malheureusement, les nouvelles sont moins bonnes concernant la reconnaissance de la recherche et de la création. En effet, les parties syndicale et patronale sont encore loin d’un accord. Pourtant, le nombre de personnes chargées de cours possédant un doctorat et ayant des activités de recherche ne cesse d’augmenter. Le SCCC-UQO considère que l’ensemble de la communauté universitaire bénéficierait de cet apport.

Pour la prochaine séance de négociation, le mardi 17 janvier de 16 h 30 à 21 h 30, la négociation sur le processus d’attribution des supervisions de stage du Département des sciences de l’éducation. L’objectif est d’arriver à une entente à la fin de cette rencontre.

Le gâchis de la recherche des personnes chargées de cours

Le gâchis de la recherche des personnes chargées de cours

C’est connu, les personnes docteures ou doctorantes sont de plus en plus nombreuses dans la profession. Pour certains, la charge de cours est le passage obligé pour accéder au professorat. Cependant, la pénurie de postes et des choix de vie ont pu faire en sorte que la charge de cours se pérennisait.

Les universités québécoises profitent de cette inflation des diplômes pour recruter des personnes chargées de cours de plus en plus qualifiées. D’ailleurs, à l’UQO, cette tendance se manifeste par des exigences de qualification pour l’enseignement (EQE) de plus en plus exigeantes, notamment en demandant le doctorat. Nous sommes face à une situation où plusieurs personnes vivent de leurs charges de cours et font, de manière souvent bénévole, de la recherche indépendante.

Malheureusement, la recherche et la création des personnes chargées de cours est mal reconnue à l’UQO, sauf de manière symbolique par la clause 2.06 obtenue l’année passée et ne donnant aucun droit. Aucun membre de notre profession ne siège au Comité de recherche et de création de l’UQO. De plus, les fonds de perfectionnement et d’intégration ne reconnaissent pas les activités de recherche. Enfin, les personnes chargées de cours ne sont pas habilitées à codiriger les mémoires de maîtrises et les thèses de doctorat. Ces mesures n’engendreraient pourtant pas de coûts importants pour l’Université.

En somme, l’Université profite de l’apport des personnes chargées de cours docteures tout en niant leur contribution à la recherche. Est-ce vraiment dans l’intérêt de la communauté universitaire?

Nicolas Harvey

L’UQO économise sur le dos des personnes chargées de cours

Cette année, des personnes chargées de cours ont eu une bien mauvaise surprise. Des cours en présentiel ont été transformés à la dernière minute en non-présentiel afin de fusionner les groupes de Gatineau et de Saint-Jérôme. Ainsi, le non-présentiel n’est plus utilisé à des fins pédagogiques. Il n’est pas non plus utilisé pour contenter la « clientèle étudiante ». Le non-présentiel sert désormais à faire des économies. Les décisions prises à la dernière minute sont irrespectueuses et ne permettent pas au corps enseignant de préparer sereinement leurs cours. De plus, le temps supplémentaire pour transformer la modalité du cours n’est pas rémunéré.

Cette dérive managériale de l’UQO est à dénoncer. Cette situation rappelle au Comité de négociation qu’il devra être extrêmement vigilant quand il négociera la formation à distance!

Recevez votre Buff gratuitement

Recevez votre Buff gratuitement

Arborez fièrement les couleurs de votre syndicat! Notre outil de mobilisation est maintenant disponible. Le Buff peut se porter comme cache-cou, bandeau, bandana, cagoule ou chouchou. Il est particulièrement apprécié par les amatrices et les amateurs de plein-air. N’hésitez pas à le porter au cou pendant votre cours si votre local est mal chauffé…

Les membres du SCCC-UQO peuvent venir le chercher au local syndical (Taché A-0113) pendant les heures de présence de Nicole. Autrement, nous pouvons vous l’envoyer par la poste. Veuillez remplir le formulaire ci-dessous.

Négociation dans les secteurs public et parapublic 2022-2023

Négociation dans les secteurs public et parapublic 2022-2023

Une évaluation des résultats qui se fera à l’aune de « la loi de l’offre et de la demande »

Je dédie ce texte aux personnes salariées qui occupent un emploi
à statut précaire dans les secteurs public et parapublic.

OPINION – En cette période caractérisée, entre autres choses, par la flambée inflationniste et la pénurie de main-d’œuvre, il va de soi que les résultats qui seront issus en 2023 de la libre contractualisation entre les employeurs (privés et publics) et les organisations syndicales seront évalués principalement à l’aune des gains – ou des pertes – en regard des augmentations salariales, des avantages sociaux, du régime de retraite et également du statut à l’emploi.

2023 : L’année des négociations dans les secteurs public et parapublic au Québec

Les conventions collectives dans les secteurs public et parapublic arriveront à échéance le 31 mars prochain.  Les négociations dans ces deux secteurs qui embauchent environ 600 000 salariéEs syndiquéEs (à environ 75% des femmes) ne devraient pas s’éterniser comme ce fut le cas lors de la ronde de 2019-2020 qui s’est échelonnée jusqu’en 2022.  Les demandes syndicales se situent dans un horizon d’un contrat de travail d’une durée de trois ans et visent principalement un rattrapage salarial et une protection du pouvoir d’achat face à une inflation à la hausse.  (Parenthèse : au fait, de quelle protection du pouvoir d’achat s’agit-il?  D’une « pleine » ou d’une « certaine » protection?  Là est la question comme dirait l’autre.)

L’offre gouvernementale, comme c’est le cas depuis 2003, prévoit une convention collective d’une durée d’au moins cinq ans accompagnée d’une proposition d’augmentation salariale qui perpétue la dévalorisation du travail des salariéEs syndiquéEs.  En clair, l’offre du gouvernement Legault à ses salariéEs syndiquéEs correspond à rien de plus qu’un rachitique 9% d’augmentation salariale sur 5 ans. Soit 3% la première année et 1,5% pour chacune des années suivantes. Le montant forfaitaire de 1000$, prévu à la première année du nouveau contrat de travail, ne sera jamais inclus dans l’échelle salariale.  Il est donc faux de prétendre que l’offre salariale du gouvernement à ses salariéEs syndiquéEs s’élève à « 13,5% sur 5 ans »[1].  Ce pourcentage est le résultat d’une addition qui mélange des pommes et des oranges et ne s’appliquera pas à la totalité des 600 000 salariéEs syndiquéEs des secteurs public et parapublic.  Morale de cette histoire : il n’y a pas que les magicienNEs qui aiment créer des illusions.

Des interrogations en lien avec la possible riposte syndicale?

Sur le plan salarial, les demandes syndicales sont aux antipodes de l’offre du gouvernement.  Se pose dès lors un certain nombre d’interrogations, dont les suivantes : de quoi sera faite la présente ronde de négociation?  Sera-t-elle mouvementée ou calme?  Peut-on s’attendre à une réédition de la crise sociale du Front commun intersyndical CEQ-CSN-FTQ des années 1971-1972?  La riposte syndicale québécoise sera-t-elle comparable à celle qui s’exprime en ce moment dans certains pays européens?

Une négociation avec l’État-patron et l’État-législateur qui se déroulera dans une nouvelle conjoncture économique

Il n’est pas question pour nous de jouer au devin.  Nous préférons adopter une position moins risquée et puisqu’il en est ainsi nous décidons tout bonnement d’attendre le déroulement des choses pour être en mesure de mieux constater après l’événement.  Quoi qu’il en soit, nous pouvons hasarder que les résultats de la présente ronde de négociation seront nécessairement évalués en prenant en considération certaines variables en lien avec la présente conjoncture économique, comme l’incontournable « loi de l’offre et de la demande ». 

La pénurie de main-d’œuvre et le taux de chômage bas devraient jouer en faveur des syndicats.  Mais, il ne faut pas oublier la nature de l’employeur ici qui négocie avec les huit organisations syndicales (CSN, CSQ, FTQ, APTS, FAE, FIQ, SFPQ et SPGQ).  L’État-patron est aussi, faut-il le rappeler, l’État-législateur.  L’État (patron ou législateur) est nécessairement un très mauvais joueur.  Il a les moyens de diviser et d’imposer sa rationalité à ses vis-à-vis.  Il aime, par-dessus tout, toujours se donner raison, quitte à le faire par un moyen brutal comme mettre un terme à des choses qui, à ses yeux, traînent en longueur.  Voilà pourquoi, en certaines circonstances, il suspend les règles du jeu en vigueur et adopte une loi spéciale comportant de très lourdes sanctions en vue de réduire à néant le désordre ambiant ou qu’il anticipe.  Il importe aussi de rappeler que les membres de la classe dirigeante ne décodent pas la conjoncture de la même manière que les leaders des organisations syndicales.  Pour les membres de l’équipe ministérielle, il est plus important de décrire la réalité sous un angle plutôt sombre du genre : « Nous sommes les plus taxés en Amérique du Nord » (ce qui est faux); « Il y a des risques d’une récession »; « Il ne faut pas que les augmentations salariales nous précipitent dans une spirale inflationniste » et ainsi de suite…

Il y a belle lurette que les augmentations salariales dans les secteurs public et parapublic du Québec ne permettent pas, à certaines des personnes oeuvrant dans ces secteurs, de rattraper le coût de la vie.  Ici nous pensons aux salariéEs qui n’ont eu droit, depuis la fin des années soixante-dix du siècle dernier, qu’aux augmentations dites « paramétriques »[2] (les augmentations au pourcentage qui ont été négociées ou décrétées). 

Les coffres de l’État débordent de ressources monétaires en ce moment. Il y a une limite à voir ces sommes s’accumuler en raison de la sous-rémunération des employéEs syndiquéEs et à servir à baisser les impôts des particuliers ou à permettre au gouvernement Legault de réaliser certaines de ses promesses électorales en faveur de sa clientèle partisane. De plus, n’y a-t-il que les 100 dirigeants d’entreprises qui ont droit à des augmentations salariales stratosphériques?  D’autant plus que les entreprises dirigées par ces hommes, qui ont un mode de vie ostentatoire et fortement inflationniste, reçoivent de généreuses subventions gouvernementales.  Il faut se rappeler qu’en ce moment l’inflation est surtout mauvaise pour les personnes salariées alors qu’elle semble plutôt « bénéfique aux entreprises et à la rémunération des p.-d.g. »[3].

En préconclusion

Les finances publiques se portent plutôt bien depuis plusieurs années.  Il n’est plus question en ce moment de cadre financier « immuable » (comme cela avait été le cas lors de la ronde de négociation de 2003-2005 avec le gouvernement Charest) ou de mesures « d’austérité » ou de « rigueur budgétaire » de l’époque du gouvernement Couillard (en 2014-2015).  Les ministres Sonia Lebel, Christian Dubé, Bernard Drainville et Éric Girard vont probablement, au cours des prochains mois, nous farcir les oreilles d’insupportables expressions du genre : « Enveloppes fermées »; « Offre salariale responsable »; « Marge de manœuvre financière étroite »; « Pas de place pour une plus forte augmentation »; « Risque d’une récession »; « Lutte à l’inflation »; « Limite à la capacité de payer des contribuables » and so on…

Si la tendance se maintient, l’offre gouvernementale de décembre 2022 devrait être bonifiée.  De combien précisément?  Nous l’avons écrit plus haut, pas question pour nous de jouer au devin.  Là réside donc la surprise qui se dévoilera pour nous tous d’ici les prochains mois.  Mais, par-delà l’aspect salarial de ces négociations, il ne faut pas oublier ce qui se discutera autour de l’enjeu des emplois à « statut précaire » et des conditions d’accès à la retraite.  Il y a une limite à traiter les personnes qui se mettent au service de la collectivité comme des moins que rien n’ayant pas droit ou accès à un emploi permanent à temps plein qui donne droit à un salaire décent qui permet de gagner sa vie dignement.  Tout comme d’ailleurs, il y a une limite à imposer une période prolongée de travail forcé avant de pouvoir jouir des fruits et des usufruits du régime de retraite souvent – mais pas toujours – refaçonné, depuis 1982, à l’avantage de l’employeur, en l’occurrence ici l’État-patron.  Nous y reviendrons. 

Conclusion

Pour conclure, l’auteur des présentes lignes ne cesse de se demander depuis des décennies pour quelles raisons au juste les dirigeantEs des grandes organisations syndicales recommandent toujours systématiquement à leurs membres, à l’issue des rondes de négociations dans les secteurs public et parapublic, l’adoption d’une entente de principe qui correspond à quelques pourcentages près à l’offre salariale gouvernementale initiale qui a la particularité de ne jamais couvrir pleinement la hausse du coût de la vie.  Entente de principe qui, quand s’amorce la ronde de négociation suivante, est décriée, par ces mêmes dirigeantEs (ou les successeurEs), comme étant à la source de l’appauvrissement de leurs membres. 

Il nous semble que le moment actuel est plutôt bien choisi pour mettre enfin un terme à ce cycle douloureux et infernal qu’ont à supporter les salariéEs syndiquéEs des secteurs public et parapublic du Québec. Sinon, si l’histoire continue à se répéter, il va falloir conclure que pour certainEs salariéEs syndiquéEs les négociations dans ces deux secteurs essentiels à notre qualité de vie en société participent également à un cirque médiatique intenable et surtout insupportable.

Yvan Perrier
Chargé de cours en relations industrielles

yvan_perrier@hotmail.com

Quelques données à se rappeler

· Moyenne salariale des employés et employées du secteur public du Front commun : 43 916 $ ;

· Retard salarial : -11,9 % ;

· Retard de rémunération globale : -3,9 % ;

· Pourcentage de femmes représentées par le Front commun : 78 %.

Source :

https://www.frontcommun.org/communique-font-commun-isq/. Consulté le 18 décembre 2022.

UQAM : 4000 $ pour une correctrice exposée à du contenu raciste

L’UQAM devra indemniser une employée qui se plaignait d’avoir été victime de racisme en corrigeant les copies d’examens d’un cours portant sur les stéréotypes racistes.

La correctrice a dû lire des réponses contenant du contenu discriminatoire, a tranché un arbitre du travail. La sévérité de ses corrections a aussi été critiquée par des étudiants, l’un d’eux l’attribuant au fait qu’elle était « étrangère » et « de l’école française ».

Gaëlle Étémé Lebogo a donc « été victime de harcèlement psychologique dans le cadre de son travail », selon la décision de l’arbitre du travail Robert Côté datée du mois dernier. « L’employeur a failli à prendre toutes les mesures nécessaires pour faire cesser le harcèlement après en avoir été informé par la plaignante. »

La décision continue : « cette situation a privé la plaignante de son droit quasi constitutionnel à la sauvegarde de sa dignité […], mais aussi compromis son droit à l’égalité sur la base de son sexe et de son origine ethnique ». Lire la suite…

Moyens de pression : Utilisez notre gabarit de diapositives

Moyens de pression : Utilisez notre gabarit de diapositives

Le 6 octobre 2022, l’Assemblée générale a voté à l’unanimité un mandat de moyens de pression. Depuis cette date, le Comité de mobilisation a organisé plusieurs actions de visibilité.

Aujourd’hui, nous sollicitons nos membres pour agir dans leur salle de cours. Ainsi, nous vous proposons d’utiliser le gabarit de la négociation pour vos présentations PowerPoint. Téléchargez le gabarit.

Toutes les personnes chargées de cours peuvent agir afin d’obtenir une meilleure convention collective. Toute la communauté universitaire doit savoir que nous sommes en négociation!

Consignes syndicales pour le trimestre d’hiver 2023 (grève)

Consignes syndicales pour le trimestre d’hiver 2023 (grève)

Le trimestre d’hiver 2023 débutera après un an de négociations. Le SCCC-UQO préfèrerait ne pas en arriver à un conflit de travail. Toutefois, considérant la durée de la négociation, nous devons nous y préparer.

D’abord, nous vous conseillons de ne mettre que le nécessaire sur Moodle. N’y diffusez pas l’ensemble de votre matériel. Ajoutez du matériel chaque semaine. Votre cours ne doit pas pouvoir se poursuivre advenant une grève ou un lock-out. De plus, nous vous recommandons d’éviter d’utiliser le carnet de notation de Moodle pour l’instant. Nous voulons éviter que l’Université décerne la note S (satisfaisant) pendant un éventuel conflit de travail.

Voici d’autres questions que vous pourriez avoir pour le prochain trimestre :

1- Que faire si une étudiante ou un étudiant ne peut se présenter en cours pour raison médicale?

Comme c’est le cas en temps normal, l’étudiante ou l’étudiant devra récupérer la matière auprès de ses camarades de classe. En aucun cas, vous ne devez reprendre la matière avec cette personne.

2- Que faire lors d’une absence à un examen en classe?

L’étudiante ou l’étudiant doit demander un report d’examen à son département. Si vous avez à rédiger un nouvel examen, vous serez rémunéré 139,88 $. Vous ne pouvez toutefois pas vous-même décider de faire un nouvel examen. Si vous le faites, vous ne recevrez aucune rémunération.

3- Les étudiantes et les étudiants de mon cours (en présentiel) me demandent de faire de l’enseignement sur Zoom. Dois-je faire mon cours en comodal?

Non! Vous ne pouvez pas faire un cours en comodal sans qu’un accord ait été signé entre le Syndicat et l’UQO. Si votre département souhaite que vous enseigniez en comodal, une compensation salariale devrait être accordée. De plus, vous n’avez pas à enregistrer vos cours, que votre enseignement se fasse en classe ou en non-présentiel!

4- Les étudiantes et les étudiants souhaitent à l’unanimité que mon cours se donne sur Zoom? Puis-je le donner en vidéoconférence?

Non. Actuellement, les directives de l’UQO sont pour un retour en classe, exception faite de certains cours qui sont prévus en non-présentiel. Référez vos étudiantes et étudiants à leur direction de module et à leur association étudiante.

5- J’ai des symptômes de la COVID-19 ou j’ai été testé positif. Puis-je faire mon cours en vidéoconférence?

Si vous êtes malade, vous avez le droit de prendre congé. Vous devez en avertir immédiatement la direction de votre département par écrit en mettant le Syndicat (accueil@sccc-uqo.ca) en copie. Si vous êtes asymptomatique, vous pouvez lui proposer de faire le cours en non-présentiel (lectures supplémentaires, capsules vidéos, séance en visioconférence). Il faut avoir la permission de la direction pour faire une séance en non-présentiel.

6- Mon enfant est en isolement ou sa classe est fermée. Puis-je prendre congé?

Oui. La Loi sur les normes du travail prévoit 10 jours de congé par an pour obligations familiales, dont deux rémunérés. Si vous souhaitez ne pas prendre congé et faire votre cours en non-présentiel, vous devez obtenir préalablement l’approbation de votre direction de département. Incluez toujours l’adresse du Syndicat (accueil@sccc-uqo.ca) dans vos correspondances!

Inscrivez-vous au souper de la nouvelle année à Saint-Jérôme

Inscrivez-vous au souper de la nouvelle année à Saint-Jérôme

Attention! Nouvelle date!

Comme chaque année, le SCCC-UQO organise un souper des fêtes pour nos membres des Laurentides. Cette année, l’événement se déroulera le vendredi 20 janvier à 18 h 30 au restaurant La Focaccia de Saint-Jérôme. Cet événement peut vous permettre de rencontrer vos collègues ainsi que les officières et les officiers syndicaux.

L’événement est gratuit mais l’inscription est obligatoire. Faites vites! Les places sont limitées!