Je souhaite poser ma candidature au poste de représentante des personnes chargées de cours à l’unité de gestion des études de premier cycle en arts, lettres et langues.
Chargée de cours à l’UQO depuis 2019, je donne des cours de rédaction, de traduction et d’outils informatiques pour langagiers aux étudiants et étudiantes du programme de traduction et rédaction. Je suis donc qualifiée pour vous représenter au conseil du module.
Au cours des deux dernières années, j’ai été représentante des personnes chargées de cours au module des lettres et au module du département du défunt Département des études langagières. De plus, je suis membre du comité de la Commission des études depuis janvier 2022.
Depuis mon entrée en poste comme chargée de cours et, surtout, depuis que je m’implique au sein des différents comités, j’ai pu constater que la place qu’on nous accorde, qu’on accorde à notre parole, est malheureusement trop souvent inversement proportionnelle à la place réelle que nous occupons au sein des programmes. Ce fut le cas au Département d’études langagières. Je continue de croire que la dissolution de ce département aurait pu être évitée si les personnes chargées de cours du département avaient été impliquées dès le début de la réflexion ayant mené à cette décision.
Je crains que la survie de notre programme ne soit menacée. Les inscriptions sont à la baisse. Que fait l’UQO pour promouvoir le programme et les cours de langue? Je crains que l’arrivée du programme de traduction et de rédaction et des cours de langue l’ÉMI ne fassent pas l’unanimité au sein du corps professoral. On ne saurait le leur reprocher. Pourquoi voudrait-il hériter de tâches supplémentaires pour un programme qui semble n’engendrer que des problèmes ? Je doute de la volonté réelle de la rectrice de maintenir le programme de traduction et de rédaction à l’UQO. Comment expliquer la décision, à l’automne 2021, d’offrir tous les cours de traduction en supervision aux étudiants de 2e année, étudiants qui avaient fait leur première année entièrement en non présentiel, sous prétexte qu’ils n’étaient que neuf étudiants? Nul doute que « l’expérience client » pour ces étudiants n’a pas été des plus mémorable.
Ainsi, si vous choisissez de me confier le mandat de vous représenter au sein de l’unité de gestion des études de premier cycle en arts, lettres et langues, je me donnerai comme mission de faire en sorte que notre parole soit non seulement entendue, mais également prise en compte lorsque des décisions qui nous concernent seront prises. Je souhaite travailler de concert avec les personnes responsables du programme de traduction et de rédaction et des cours de langues afin de mettre en place des stratégies pour la promotion et la survie de notre programme.
Je vous remercie de m’avoir lue et j’espère que vous m’accorderez votre confiance.
Une dizaine de membres du Syndicat des chargés et chargées de cours de l’UQAR (SCCCUQAR–CSN) ainsi que d’autres syndicats représentant des chargés de cours d’autres universités québécoises ont manifesté devant le campus de Lévis de l’Université du Québec à Rimouski, le 22 septembre en matinée.
Le SCCCUQAR–CSN a utilisé ce coup d’éclat pour dénoncer la lenteur des négociations avec la partie patronale et le manque de considération de cette dernière pour les demandes des chargés de cours. À l’UQAR, ces derniers, qui sont environ 600, sont sans convention collective depuis le 31 mai 2021.
«On négocie depuis plus d’un an et ça avance très lentement. On n’a même pas d’offre salariale sur la table. On aimerait bien signer une nouvelle convention, mais il faudrait que la partie patronale nous présente ses offres. On a proposé une trentaine de dates de négociation possibles d’ici la fin décembre et ils nous ont seulement offert six dates. Nos demandes les plus importantes portent sur le salaire, la formation à distance, la retraite et les cours en tutorat. Nos revendications ne sont pas satisfaites et la partie patronale n’en parle pas ou très peu», a déploré Hélène Montreuil, la présidente de la SCCCUQAR–CSN. Lire la suite…
Après 25 ans d’enseignement à l’UQO, j’ai choisi de poser ma candidature au poste de représentante des chargés de cours à l’assemblée départementale du département de relations industrielles. Si je suis élue, je m’engage à voir comment on peut faire participer activement les chargés de cours aux débats et aux réflexions de l’assemblée départementale sur tous les sujets susceptibles d’intéresser de près ou de loin les personnes qui enseignent au département. Par exemple, selon moi, actuellement il y a un réflexion importante à faire, en lien notamment avec la liberté académique, à propos de certaines règles imposées aux personnes chargées de cours au département de relations industrielles et qu’on ne retrouve pas dans les autres départements de l’UQO.
Je m’intéresse aussi, de façon plus générale, à tout ce qui concerne les stratégies d’amélioration continue de la qualité et de soutien au personnel enseignant, incluant évidemment les personnes chargées de cours. Je crois que pour avoir des résultats concrets et durables, face à une problématique il faut prendre le temps de développer une vision commune du problème ou des objectifs à atteindre, pour pouvoir ensuite déterminer ensemble les meilleurs moyens à utiliser.
Diane Legault, M. Env., D.E.S.S. Chargée de cours en santé et sécurité du travail 30 septembre 2022
Je souhaite renouveller mon mandat au Conseil de module en sciences comptables de l’UQO.
Je suis présentement le représentant des chargés de cours au Conseil de module en sciences comptables (Gatineau). J’ai été élu à ce poste depuis un certain nombre d’années comme professeur entre 1998 et 2000 et comme représentant des chargés de cours depuis 2004 de manière intermittente. Membre de plusieurs comités au SCCC-UQO depuis 1994, notamment conseil syndical, comité de surveillance des finances (1994-2010), négotiation (1999-2001), perfectionnement (1999-2001) et relations de travail (2001-2002).
J’ai débuté ma carrière à l’UQO en 1990 (avant la création du SCCC-UQO) comme chargé de cours en sciences comptables. J’ai été professeur suppléant au Département des sciences comptables à l’UQO entre 1991 et 1994 et entre 1997 et 1998. Ensuite, je suis revenu comme chargé de cours. J’ai également été chargé de cours dans la majorité des universités québécoises au fil des années depuis 1986.
Depuis 2002, je suis professeur à temps plein en comptabilité à la Sprott School of Business, Carleton University. En 2022, j’ai été élu secrétaire du Business Faculty Board et membre du Sénat de l’Université Carleton. Depuis 2003, je suis l’un des représentants de Sprott au Council du syndicat des professeurs, Carleton University Academic Staff Association (CUASA).
En 2022, j’ai mérité le Prix d’excellence en enseignement L.S. Rosen de l’Association canadienne des professeurs de comptabilité. J’ai reçu d’autres prix en enseignement de la Sprott School of Business (2021) et de l’Ordre des comptables agréés du Québec (2010); et en recherche de la Sprott School of Business (2018, 2011), de la Canadian Association of Career Eductors and Employers (CACEE/ACSEE) (2018) et de l’Institut de gestion financière du Canada (2009). Élu Fellow comptable agréé (FCA) et Fellow comptable professionnel agréé (FCPA) en 2012.
Je suis membre du Conseil d’administration de l’Hôpital Montfort depuis 2017, membre de plusieurs comités depuis 2012 et président du Conseil d’administration de Santé Montfort depuis 2020.
Je peux faire profiter de mon expérience à d’autres membres qui sont parfois moins expérimentés en gouvernance au Conseil de module et à la dimension historique des sciences comptables à l’UQO.
François
François Brouard, MSc (UQAM 1993), DBA (UQTR 2004), FCPA, FCA
Chargé de cours, Science comptables, Université du Québec en Outaouais (UQO)
Professeur titulaire, Sprott School of Business, Carleton University
A l’occasion de la prochaine Assemblée Générale fixée le mercredi 06 octobre 2022 à 17 :30, j’ai le plaisir de vous annoncer que je me porte candidat pour le comité de perfectionnement. Je vous remercie en conséquence de bien vouloir m’inscrire sur la liste des candidats.
Membre professionnel de l’ordre des ingénieurs du Québec avec Baccalauréat, maitrise et un doctorat en génie électrique, je possède 10 années d’expérience pratique et polyvalente dans l’industrie. Durant ces années, j’ai été impliqué au sein d’équipes multidisciplinaires dans des projets de recherche et développement majeurs. Je possède également une solide expérience de 16 ans dans l’enseignement universitaire durant laquelle j’ai enseigné une gamme de cours dans le domaine du génie électrique, électronique et informatique. J’ai donc pu développer mes compétences comme pédagogue formateur auprès d’une clientèle adulte variée et diversifiée. Ce qui me permet de m’adapter facilement à différents groupes et divers milieux professionnels et de travailler en équipe avec les collègues de travail et les intervenants dans le secteur.
De plus j’ai participé à plusieurs services à la collectivité :
Président de l’organisation et de finance ETMN-2021 Manipal University Jaipur- India 2021
Conférencier ICBEM 2016 Toronto
Membre de jury ICBBT 2016 Barcelona Spain
Membre au conseil de Module d’Ingénierie 2012 (à présent)
Membre au conseil de Module d’Informatique UQO 2020 (à présent)
Membre du comité institutionnel de développement durable UQO 2019-2021
Membre à l’assemblée départementale d’Informatique et d’ingénierie (2010-12) (2020-22)
Membre de l’Ordre des Ingénieurs du Québec.
Membre de IEEE (Institute of Electrical and Electronic and Engineers).
Examinateur de l’extérieur avec CRSNG.
Expert de contenu Transformation pédagogique La CITÉ 2021-2022
Ces collaborations m’ont permis de développer mon sens de l’initiative, de l’entrepreneuriat et de la gestion de projet et je crois par conséquent que mes décisions académique et industrielle démontrent un jugement professionnel approfondi, soutenu par ma formation académique et à mon profit de formateur. De plus, je considère également que j’ai l’expertise pédagogique nécessaire pour transmettre mes savoirs et mes savoirs à faire de la façon la plus efficace qui tient compte des besoins des intervenants dans le domaine académique et industrielle.
Je vous remercie à l’avance de l’intérêt que vous porterez à ma candidature et vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes sentiments distingués.
Le samedi 1er octobre prochain de 9 h 30 à 12 h 30, il y aura une séance d’information sur la retraite qui se tiendra par Zoom. Vous devez vous y inscrire. Remplissez le formulaire à ce lien et vous obtiendrez le lien de la rencontre par la suite :
Aux membres des syndicats affiliés à la FNEEQ-CSN,
L’utilisation du français en recherche et en enseignement, tant au collégial qu’à l’université, est-elle une préoccupation pour vous? Vous paraît-il important de mieux comprendre comment les établissements québécois peuvent soutenir cette langue, dans le contexte actuel? Le projet de recherche La place du français en enseignement supérieur au Québec vise justement à sonder les personnels enseignants et de recherche, des cégeps et des universités, afin de comprendre les facteurs qui facilitent ou nuisent à l’utilisation du français dans la production, la diffusion et la transmission des connaissances.
Le projet est dirigé par le professeur Olivier Bégin-Caouette de l’Université de Montréal (chercheur principal) et les cochercheurs suivants : Alexandre Beaupré-Lavallée, professeur à l’Université de Montréal, Marie A. Thériault, professeure à l’Université de Montréal, Cathia Papi, professeure à l’Université TELUQ et Sylvain Marois, chargé de cours à l’Université Laval. Le projet est financé par une subvention de recherche de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), mais nous précisons que cet organisme n’aura accès ni aux données brutes, données dénominalisées ou données anonymisées.
En tant que membre d’un corps de métier directement impliqué dans la recherche ou dans l’enseignement, votre participation est primordiale pour nous. Merci de répondre au questionnaire au plus tard le 12 octobre 2022. Veuillez prendre 20 minutes de votre temps pour remplir le questionnaire en cliquant sur le lien suivant :
Votre participation à l’étude est entièrement volontaire. Bien que nous espérions que vous complétiez le questionnaire dans son intégralité, vous pouvez arrêter à tout moment sans qu’il n’y ait aucune pénalité. En raison du caractère anonyme de l’étude, il n’est toutefois pas possible de quitter puis de reprendre le questionnaire, ni de retirer ou de changer vos réponses après que le questionnaire ait été complété et envoyé. Les adresses IP ne seront pas enregistrées.
Jusqu’à la complétion du questionnaire, vous pouvez effacer toutes vos réponses à l’aide d’un bouton situé dans le coin supérieur droit de l’écran. Par contre, si vous quittez le questionnaire sans effacer vos réponses, celles-ci pourront être utilisées dans les analyses.
Il est à noter que ce projet fut approuvé par Comité d’éthique de la recherche en éducation et en psychologie de l’Université de Montréal (CEREP-22-067D) et de l’Université Laval (2022-282).
Nous espérons donc que vous accepterez de distribuer l’invitation suivante à vos membres et nous aiderez ainsi à mieux soutenir la valorisation du français dans nos établissements.
Si vous avez des questions à propos de cette étude, vous pouvez me contacter directement : olivier.begin-caouette@umontreal.ca. Pour toute préoccupation sur vos droits ou sur les responsabilités des chercheurs concernant votre participation à ce projet, vous pouvez contacter le Comité d’éthique de la recherche en éducation et en psychologie par courriel à l’adresse cerep@umontreal.ca ou par téléphone au 514 343-6111 poste 1896 ou encore consulter le site Web http://recherche.umontreal.ca/participants. Toute plainte relative à votre participation à cette recherche peut être adressée à l’ombudsman de l’Université de Montréal en appelant au numéro de téléphone 514 343-2100 ou en communiquant par courriel à l’adresse ombudsman@umontreal.ca (l’ombudsman accepte les appels à frais virés).
De nombreux groupes communautaires, syndicaux et étudiants manifesteront partout au Québec le 23 septembre prochain pour rappeler l’urgence d’agir pour la justice climatique. Tenu à dix jours des élections provinciales, l’évènement sera le point de départ d’une série de mobilisations visant à contraindre les gouvernements à renoncer aux hydrocarbures.
Au cours des prochains jours, des dizaines de syndicats et d’associations étudiantes locales tiendront des votes de grève afin de participer à des manifestations prévues le 23 septembre dans la plupart des grandes villes de la province dont Montréal, Québec, Gatineau, Rimouski, l’Assomption, Trois-Rivières, Sherbrooke et Rouyn-Noranda.
Une douzaine de groupes ont déjà des mandats de grève pour l’occasion. Lire la suite…
