fbpx
819 773-1692 accueil@sccc-uqo.ca

Un prof et historien vedette épinglé pour plagiat

L’historien vedette Laurent Turcot a été épinglé pour plagiat et rappelé à l’ordre par son université, l’automne dernier, mais a échappé à des sanctions.

Professeur au département d’histoire de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), M. Turcot est régulièrement invité dans les médias. À Radio-Canada comme à TVA.

Pour la société d’État, il produit entre autres un balado intitulé Fan d’histoire dans lequel il discute avec des personnalités telles que Guylaine Tremblay et Guy A. Lepage. Sur YouTube, il anime une chaîne nommée L’Histoire nous le dira qui compte plus de 375 000 abonnés. Lire la suite...

Entente entre les chargés de cours et la direction de l’UQAM

Réunis en assemblée générale jeudi, les membres du Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l’UQAM (SPPEUQAM-CSN) ont accepté l’hypothèse de règlement déposée par le conciliateur.

Cette hypothèse a été présentée tôt lundi matin, juste avant le déclenchement d’une grève illimitée. Les 2500 membres avaient alors prévu de manifester leur insatisfaction après plus d’un an de négociations.

« Le règlement comporte plusieurs avancées dans différents aspects existants de la convention collective actuelle et en introduit de nouveaux. Surtout, il est un bon pas en faveur de la volonté des membres d’obtenir une stabilisation des emplois », s’est réjoui Olivier Aubry, président du SPPEUQAM-CSN. Lire la suite…

Assemblée générale : les candidatures sont connues

Assemblée générale : les candidatures sont connues

L’Assemblée générale statutaire aura lieu le lundi 25 avril à 18 h. Les personnes qui souhaitaient briguer un poste avaient jusqu’au 20 avril à 16 h pour faire acte de candidature. Voici les candidatures reçues :

Vice-présidence à la Convention collective (1 poste)

Trésorerie (1 poste)

Comité de surveillance des finances (2 postes)

  • France Turcotte
  • Jonathan Gosselin

Lettre de présentation de Jean-Yves Girard

Candidat à la trésorerie

Expérience comme chargé de cours

Je suis chargé de cours à l’UQO depuis 18 ans en Sciences Comptable et en Sciences de l’Administration.

Ordre professionnel

Membre de l’Ordre des CPA du Québec

Trésorier SCCC-UQO

Lors des deux dernières années dans mes fonctions de trésorier, j’ai effectué la tenue de livres, le traitement des paiements des factures et de la paie ainsi que la préparation des états financiers. J’ai été actif dans les prises de décisions du Conseil Exécutif permettant de défendre nos membres alors que les relations avec l’employeur ont connu des hauts et des bas.

J’ai participé au renouvellement de la convention collective de notre adjointe administrative. Des particularités dans cette convention collective n’ont pas pu être supporté par le service de la paie que nous avions avec la CSN. J’ai implanté l’utilisation du service de paie EmployeurD de Desjardins. Ce système nous permet de mieux contrôler la paie et permet à chacun de modifier leurs données personnelles directement dans le système.

Nous sommes au début de la négociation de notre convention collective. Ma connaissance des dossiers et des données financières pertinentes me permet de croire que je pourrai procurer et maximiser l’information que nous colligeons de façon régulière.

L’harmonie au Conseil Exécutif rend ce travail très agréable et je souhaite continuer à participer activement au syndicat par mon implication au Conseil Exécutif.

J’espère que vous m’accorderez votre confiance pour un nouveau mandat au moment de l’élection du
25 avril 2022.

Lettre de présentation de Luce Gilbert

Candidate à la vice-présidence à la Convention collective

Chargée de cours à l’UQO depuis 2003

Vice-présidente à la Convention collective depuis 2012

Mon rôle dans ce poste est de fournir du soutien à nos membres, spécialement dans des situations difficiles. Je m’assure du respect de notre Convention collective. Je donne de l’information sur l’interprétation de notre Convention collective en m’assurant de faire les vérifications nécessaires auprès de notre conseiller syndical dans les situations litigieuses le cas échéant.

Je préside le Comité de relations de travail et suis assistée de deux agentes et d’un agent de relations de travail. Je rédige les griefs et essaie de les régler avant l’arbitrage. Si le Syndicat se rend à cette instance, c’est moi qui le représente.  

Comités de négociation

J’ai participé aux comités de négociation de nos quatre dernières négociations collectives. Je suis membre du comité de négociation de notre huitième convention collective depuis l’été 2021. Nous avons des rencontres avec l’Employeur depuis la fin de janvier 2022.

Représentante de notre Syndicat à des comités de la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec (FNEEQ)

Je suis membre du Bureau fédéral de la FNEEQ depuis 2012 et participe aux réunions du regroupement université qui est composé de syndicats de personnes chargées de cours du Québec. Ces rencontres me permettent, entre autres, d’échanger sur les dispositions des diverses conventions collectives de personnes chargées de cours, de connaître les jurisprudences, les gains des arbitrages.

Représentante de notre Syndicat à la coalition citoyenne Équité Outaouais

L’objectif de cette coalition citoyenne est de mobiliser la population de l’Outaouais afin d’obtenir du gouvernement du Québec une augmentation des fonds consacrés dans les secteurs de l’éducation, de la santé, de la justice sociale et de la culture.

Pourquoi je sollicite un autre mandat à la vice-présidence à la Convention collective

Je suis à la retraite du gouvernement fédéral et j’ai du temps à consacrer à notre Syndicat. Le poste à la vice-présidence à la Convention collective demande beaucoup de disponibilités, d’écoute, de soutien. Je suis disponible et facile à joindre pour satisfaire à ces exigences. Je crois avoir encore beaucoup à apporter à notre Syndicat. J’aime aider nos membres et les rassurer lorsqu’ils vivent du stress dans leurs fonctions de personnes chargées de cours.

J’aimerais terminer la négociation de notre huitième Convention collective. Notre Convention collective est venue à échéance le 31 décembre 2021. Nous avons encore du travail à faire afin d’améliorer nos conditions de travail, par exemple, dans les processus d’attribution et d’annulation des charges de cours, l’évaluation de l’enseignement, la liberté académique dans certains départements, la formation à distance.

J’espère que vous m’accorderez votre confiance pour un nouveau mandat au moment de l’élection du 25 avril 2022. 

Luce Gilbert

L’UQO ne semble pas connaître l’inflation

L’UQO ne semble pas connaître l’inflation

Avril 2016. C’est le moment où ont été revus pour la dernière fois les frais kilométriques pour l’utilisation d’une voiture personnelle à l’UQO. Depuis cette date, de l’eau a coulé sous les ponts. La pandémie suivie d’une poussée inflationniste ont malmené le pouvoir d’achat des Québécoises et des Québécois. 

Plusieurs personnes chargées de cours réclament des frais de déplacement. Certaines enseignent, par exemple, sur les campus de Saint-Jérôme et de Gatineau. D’autres habitent à l’extérieur de la région, notamment à Montréal. Si l’UQO engage des personnes de l’extérieur, c’est pour combler un manque de main-d’œuvre qualifiée dans la région. De plus, des frais kilométriques peuvent aussi être réclamés lorsqu’on fait une demande de mise à jour des connaissances au fonds de perfectionnement, notamment pour participer à un colloque.

On le sait, les frais d’utilisation et d’entretien d’une voiture personnelle ont explosé depuis un an. De plus, le transport en commun, notamment par train et par autocar, s’est raréfié depuis le début de la pandémie. La situation n’est jamais revenue à la normale. En somme, il n’est plus possible de couvrir ses frais de déplacement avec les sommes allouées par l’UQO.

La bienveillance, c’est aussi de ne pas appauvrir ses employées et ses employés!

Le projet de loi sur la liberté universitaire rate sa cible

Le projet de loi sur la liberté universitaire rate sa cible

Le 6 avril, la ministre de l’Enseignement supérieur, Danielle McCann, a déposé le projet de loi 32 sur la liberté académique dans le milieu universitaire. Ce projet de loi était attendu dans un contexte où le corps enseignant vit une période de grande inquiétude. Cette inquiétude se manifeste notamment par de l’autocensure.

Mentionnons d’abord que le projet de loi est intéressant sur plusieurs aspects. Il laisse notamment une grande autonomie aux communautés universitaires pour établir une politique et pour créer des instances pour la faire respecter. Nous considérons que l’autonomie universitaire est une composante essentielle de la liberté académique.

Là où le projet de loi rate sa cible repose dans la définition même de la liberté académique. Les pressions économiques, notamment par le biais des subventions du secteur privé, sont probablement la plus grande source d’ingérence dans les universités. Or, le projet de loi n’y fait pas référence.

Par ailleurs, le projet de loi ne mentionne ni la précarité des personnes chargées de cours ni une limitation au devoir de loyauté. Sans une stabilité d’emploi, la liberté universitaire ne peut pas exister.

Enfin, soulignons que le projet de loi permet une intervention directe de la ministre dans les affaires internes des universités afin de protéger la liberté académique. Cette prérogative est dangereuse, car elle permettrait une ingérence politique dans les affaires universitaires. Le législateur devrait réfléchir à d’autres voies pour s’assurer que les universités respectent l’essence de la loi.

En somme, le projet de loi permet des avancées importantes en matière de liberté universitaire. Toutefois, il rate sa cible pour contrer les menaces les plus importantes à cette même liberté.

Les professeur-es enseignants de l’UQAM tendent une dernière perche

Il est minuit moins une pour éviter une grève générale illimitée, ont fait valoir jeudi à Montréal les représentants des 2500 professeur-es enseignants de l’UQAM.

« Nous sommes à la veille d’une grève générale illimitée s’il n’y a pas d’avancées majeures à la table de négociation avec l’université », a affirmé en conférence de presse le président du Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l’UQAM, Olivier Aubry.

Il y a deux semaines, le syndicat a obtenu un vote de 90 % de ses membres pour « un débrayage illimité au moment opportun ».

Le soutien de la FNEEQ
Au nom de la Fédération des enseignantes et enseignants du Québec (FNEEQ–CSN), la vice-présidente Christine Gauthier a assuré les professeur-es enseignants de l’UQAM du soutien indéfectible de son organisation. Lire la suite…

ÉTUDE SUR LES CONSÉQUENCES DE LA PANDÉMIE SUR LA SANTÉ GLOBALE DES ÉTUDIANT⸱E⸱S ET DES POPULATIONS UNIVERSITAIRES

Bonjour !

La phase 5 de notre étude démarre ! Elle a lieu du 21 mars au 22 avril 2022.Elle s’adresse à tous les étudiant.e.s et les employé.e.s du réseau de l’Université du Québec et de Polytechnique Montréal. Il n’est pas nécessaire d’avoir participé aux phases antérieures de l’étude pour compléter ce sondage !

Pour participer à cette étude approuvée par les Comité d’éthique de la recherche de l’Université du Québec à Chicoutimi (2020-491) et de Polytechnique Montréal (CER-2021-28P) :

𝗣𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗲𝘇 𝗲𝗻 𝗹𝗶𝗴𝗻𝗲 👇

Lien : https://sondages.uqac.ca/index.php/516322?lang=fr

𝑉𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑟𝑖𝑒𝑧 𝑔𝑎𝑔𝑛𝑒𝑟 𝑙’𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 10 𝑐𝑎𝑟𝑡𝑒𝑠-𝑐𝑎𝑑𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 50$

𝗥𝗲𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀

Christiane Bergeron-Leclerc, Ph.D., Responsable du projetcblecler@uqac.ca1 800 463-9880, poste 4230uqac.ca/impactcovid Josée Grenier, Ph.DResponsible local (co-chercheure)Josee.grenier@uqo.ca1800-567-1283 poste 4028uqac.ca/impactcovid 

L’enseignement à distance au primaire et au secondaire nuit à l’apprentissage ? Vrai

L’UNESCO (Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture) avait reconnu dès le début de la pandémie les conséquences potentiellement majeures d’une interruption de la scolarisation. Dans un document récent, l’organisme note, entre autres, une réduction du filet de sécurité sociale des enfants, une exacerbation des inégalités sociales et éducatives ainsi qu’un accès nettement insuffisant aux technologies.

Au Québec, des médecins qui travaillent auprès des enfants et des adolescents s’inquiétaient en janvier dernier des effets néfastes de la fermeture des écoles, même temporaire. Dans une lettre publiée dans Le Devoir, ils soulignaient que l’éducation est un « besoin essentiel » pour le développement et la santé des enfants. Ils évoquaient également les risques de décrochage scolaire et de retards d’apprentissage. Lire la suite…