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L’Outaouais officiellement frappée par la quatrième vague

L’Outaouais est officiellement entrée dans la quatrième vague de la pandémie selon le Centre intégré de santé et des services sociaux de l’Outaouais (CISSSO), qui a rapporté 27 nouveaux cas de COVID-19 vendredi, portant la hausse quotidienne moyenne des sept derniers bilans à 20 cas par jour.

L’Outaouais est officiellement entré dans la quatrième vague de la pandémie selon le Centre intégré de santé et des services sociaux de l’Outaouais (CISSSO), qui a rapporté 27 nouveaux cas de COVID-19 vendredi, portant la hausse quotidienne moyenne des sept derniers bilans à 20 cas par jour.

«Selon les données épidémiologiques des dernières semaines, la direction de santé publique considère que la région de l’Outaouais est entrée dans la quatrième vague qui frappe actuellement la province», a affirmé la Dre Brigitte Pinard, directrice par intérim de la santé publique lors d’un point de presse vendredi matin. «Le variant Delta est bien installé dans la région et pourrait continuer à se propager plus facilement que le variant Alpha que nous avons connu précédemment. Lire la suite…

Campus francophone en Alberta: incapables d’étudier en français

La communauté francophone albertaine implore les partis fédéraux d’assurer la survie du seul campus de langue française à l’ouest du Manitoba, mis en péril par les compressions de la province. Déjà, des étudiants sont contraints de poursuivre leur parcours universitaire dans la langue de Shakespeare.

Joannie Fogue Mgamgne et Chiara Concini espéraient compléter leur programme de science politique en français. La première devra plutôt suivre trois de ses cinq cours en anglais cet automne, tandis que la seconde sait déjà qu’une partie de sa formation ne sera plus offerte dans la langue de Molière. Lire la suite…

Les enjeux du passeport vaccinal

Les enjeux du passeport vaccinal

L’Université d’Ottawa et l’Université de Moncton ont annoncé récemment que toute leur communauté universitaire devrait être vaccinée. Pour l’instant, aucune université québécoise n’a fait une telle annonce. De plus, l’enseignement supérieur est classé comme service essentiel par le gouvernement du Québec. Comme pour les magasins d’alimentation, il n’est pas prévu d’exiger le passeport sanitaire. De plus, le passeport vaccinal concernerait les usagers et non le personnel. Toutefois, avec l’augmentation du nombre d’hospitalisations, la situation pourrait changer rapidement.

Les membres du Comité exécutif du SCCC-UQO croient tous aux bienfaits de la vaccination. Ils sont d’ailleurs toutes et tous vaccinés. La vaccination est la clef pour une rentrée scolaire sécuritaire.

Néanmoins, nous pouvons nous inquiéter de ce qui serait susceptible d’ arriver à des collègues qui ont pris la décision de ne pas se faire vacciner. Actuellement, nous n’avons pas de réponses à leur donner. Toutefois, le Service juridique de la CSN étudie la question et nous donnera des balises juridiques pour bien accompagner nos membres. 

En cette période d’incertitudes, nous vous conseillons de lire assidûment nos infolettres. Si vous avez des questions ou des inquiétudes, communiquez avec nous!

COVID-19 : l’Université de Moncton rend la vaccination obligatoire

Les quatre principales universités du Nouveau-Brunswick, dont l’Université de Moncton, imposeront la vaccination obligatoire ou des tests de dépistage fréquents à tous les membres de la communauté universitaire cet automne.

Deux doses avant le 15 octobre à l’Université de Moncton
Sur les trois campus, les étudiants, les professeurs et les employés devront obtenir deux doses de vaccin d’ici le 15 octobre.

Une telle mesure est sans précédent et demande une approche qui combine à la fois la protection de la santé et le respect des valeurs des individus. Les personnes qui ne seront pas doublement vaccinées devront se soumettre à des tests de dépistage rapides fréquents. Chaque membre de notre communauté universitaire pourra choisir la solution qui lui convient le mieux, explique le recteur de l’Université de Moncton, Denis Prud’homme. Lire la suite…

Des questions persistent pour le trimestre d’automne

Des questions persistent pour le trimestre d’automne

L’Université du Québec en Outaouais a annoncé récemment que le trimestre d’automne 2021 se déroulerait entièrement en présentiel. Cette décision est en conformité avec la volonté de Québec d’un retour sur les campus. Le taux de vaccination est aussi encourageant pour la suite des choses. Toutefois, des enjeux importants persistent. Le Syndicat rencontrera l’Employeur le 31 août prochain afin de tenter de trouver des réponses.

Un test positif à la COVID

Dans l’éventualité qu’une personne chargée de cours soit positive à un test de dépistage, un protocole devra être mis en place. Lui sera-t-il demandé de basculer en cours en ligne pendant la période de quarantaine?

Si des étudiantes ou des étudiants recevaient un test positif, la question de la reprise de la matière serait également posée. Actuellement, une étudiante ou un étudiant absent pour des raisons médicales doit revoir la matière avec des collègues de classe. En aucun cas, une personne chargée de cours ne devrait refaire de cours pour les personnes absentes. Par ailleurs, la Convention collective prévoit qu’il n’y a jamais d’enregistrement en salle de classe sans une entente avec le Syndicat.

Une chose est certaine, il serait inadmissible d’augmenter la charge de travail d’une personne chargée de cours sans contrepartie monétaire.

Demandes d’accommodements

Plusieurs membres du corps enseignants ont reçu ou reçoivent des courriels d’étudiantes et d’étudiants qui demandent, pour diverses raisons, de suivre leurs cours en ligne. Pour l’instant, ce genre d’accommodements ne peut pas être accordé. Il demanderait une surcharge de travail de la part de l’enseignante ou de l’enseignant tout en rompant la règle d’égalité à l’intérieur de la classe. Si jamais l’Université souhaitait offrir ce type d’accommodements, elle devrait inscrire ces étudiantes et ces étudiants en cours sous supervision en conformité avec la Convention collective. 

Si vous avez des demandes en ce sens, nous vous suggérons de répondre : « Je comprends bien votre situation. Cependant, je n’ai aucun contrôle sur le mode du cours. Je vous suggère de contacter votre module pour toute demande d’accommodements ».

Une situation précaire

La situation sanitaire épidémiologique reste préoccupante. Malgré un taux de vaccination important et une saison estivale généralement moins propice à la circulation des virus, les cas ont tendance à augmenter. De plus, nous ne sommes pas à l’abri de nouveaux variants, voire de mutations, plus dangereux. Nous souhaitons qu’un plan clair soit déterminé si un nouveau confinement devait être mis en place.

Se désister d’un cours

Certaines personnes chargées de cours ont mentionné qu’elles ne pourraient pas donner de cours en présentiel pour des raisons familiales, professionnelles ou sanitaires.  De plus, l’offre de transports interurbains est encore limitée. À l’heure actuelle, il n’y a aucune possibilité de changer le mode de cours. 

Si vous souhaitez vous désister d’un cours, vous devez impérativement respecter les délais prescrits. Autrement, vous pourriez être suspendu ou suspendue.

Voici ce que prévoit la Convention collective :

10.06 La personne chargée de cours qui met fin à son contrat d’embauche dans les sept (7) jours ouvrables précédant le début d’un trimestre sans présenter des motifs de force majeure, sera suspendue sans salaire ou autre rémunération, et ce, dans tous les départements où elle est inscrite sur une liste de pointage de priorité pour

• Un (1) trimestre (excluant l’été) pour une première fois

• Trois (3) trimestres (incluant l’été) pour les fois subséquentes. 

Pour toute question, n’hésitez pas à communiquer avec le Syndicat à accueil@sccc-uqo.ca.

Les autobus d’Orléans Express reprendront la route Ottawa-Montréal dès le 8 juillet

Dès le 8 juillet prochain, le service de transport interurbain de Keolis Canada, Orléans Express, offrira une liaison quotidienne entre Montréal, Gatineau et Ottawa.

La Commission des transports du Québec a octroyé un permis à l’attention d’Orléans Express afin que l’entreprise puisse desservir le corridor reliant Montréal, Gatineau et Ottawa, annonce Keolis Canada, dans un communiqué diffusé lundi.

Ce trajet n’était plus desservi depuis plus d’un an, en raison de la situation pandémique.

Les voyages en autobus reprendront dès le 8 juillet. Orléans Express offrira initialement quatre départs par jour sur ce corridor : à 7 h et 18 h, depuis Montréal, et à 7 h et 13 h depuis Gatineau. Les passagers peuvent d’ores et déjà réserver leurs billets sur le site web de la compagnie. Lire la suite…

Mot de la présidente : Et si l’automne…

Mot de la présidente : Et si l’automne…

Pendant plus de quinze mois, nous avons travaillé d’arrache-pied pour que nos cours en non-présentiel aient le contenu habituel. Le temps de préparation a considérablement augmenté, le nombre de courriels a doublé, triplé et plus, les exigences du Zoom ont complexifié notre travail. Tout cela ne nous a pas été reconnu : un petit merci ça et là, mais rien de plus. Pourtant, qu’aurait fait l’UQO sans le travail des personnes chargées de cours?

Durant cette période, ce sont les étudiantes et étudiants qui ont trouvé l’enseignement de la maison difficile qui se sont prononcées sur tous les inconvénients de cette méthode. Nous savons cependant que d’autres ont vraiment aimé ne pas avoir à se louer un appartement, perdre du temps en déplacement entre la maison et l’université, pouvoir demeurer avec leurs familles. Les entendrons-nous davantage dans les prochains mois?

Malgré tout, le gouvernement a décidé que tous les cours de l’automne seront en présentiel, mais qu’en sera-t-il dans les faits? Les universités qui avaient des cours à distance avant la pandémie en profitent pour augmenter ce type de cours. Celles qui, comme l’UQO, n’en avaient pas du tout sont contraintes à ne donner que des cours en présentiel. Quelles universités en sortiront gagnantes? Comment toute cette année influencera-t-elle notre liberté académique?

Toutes les universités doivent avoir un plan de repli si le confinement est à nouveau décrété cet automne. Sachez que nous avons planifié une rencontre le 31 août prochain avec l’Employeur pour négocier une lettre d’entente si les cours devaient finalement se donner en non‑présentiel.

À court terme, l’élaboration de nos plans de cours sera plus ardue. À cet effet, aucun département ne peut exiger que vous les déposiez en juillet. Si vous aviez des demandes contraires, veuillez écrire à accueil@sccc-uqo.ca. Tout l’été, il y aura une ou un membre du Comité exécutif qui sera de service.

Nous continuerons également à travailler pour la prochaine négociation. En août, vous recevrez le lien pour remplir le sondage qui permettra d’élaborer le cahier de demandes. Exprimez-vous!

Tous les membres du Comité exécutif se joignent à moi pour vous souhaiter un été en famille, entre amis et des plus ressourçants.

Marie-Josée Bourget, présidente

PLEUTRERIES

Tout ça pour ça. Le 7 juin, l’Université de Toronto s’est remise en quête d’un candidat pour diriger son Programme international des droits de la personne, rattaché à sa faculté de droit.

Onze mois après avoir déniché la candidate idéale, en Allemagne.

Neuf mois après avoir dit à cette prof hautement qualifiée… d’oublier ça. Merci quand même, mais ne vous donnez pas la peine de défaire vos boîtes ; vos services ne sont plus requis dans la Ville Reine…

L’affaire a provoqué une crise sans précédent dans la plus grande université du pays. Trois démissions. Deux enquêtes. Un blâme officiel du syndicat des profs. Un boycottage d’universitaires et de personnalités canadiennes. Un reportage dans le New Yorker. Lire la suite…

Changements à la haute direction de l’UQO

Changements à la haute direction de l’UQO

Le 14 juin 2021, le Conseil d’administration de l’UQO approuvait l’embauche de deux nouvelles personnes vice-rectrices. Ainsi, tous les hauts dirigeants de l’UQO ont été remplacés depuis le début de la pandémie. Quelles seront les perspectives de cette nouvelle haute direction?

Hélène Forget, vice-rectrice à l’enseignement et à la réussite, et Adel El Zaïm, vice-recteur à la recherche, à la création, aux partenariats et à l’internationalisation, ont été rencontrés par les membres du Comité exécutif du Syndicat avant leur nomination. Nous avons apprécié leur franchise et leur ouverture. Sans évidemment faire de promesses, ils ont démontré une écoute face aux questions de la recherche, de la collégialité et de l’autonomie professionnelle.

Le Syndicat souhaite un bon mandat à Madame Forget et à Monsieur El Zaïm.